Où est le contrôle ? Malgré les décisions prises par les pouvoirs publics pour que les prix du pain et du lait soient fixes et abordables pour les faibles revenus sur tout le territoire national, les commerçants ne semblent pas à l'extrême ouest respecter ces décisions. En effet, bien que ces prix soient fixés à 7,50 DA et 25 DA, ces principaux produits de base sont cédés au consommateur à respectivement à 10 DA et 45 DA sans que les services de contrôle ne réagissent. Plan de circulation à revoir Un nouveau plan de circulation vient d'être mis en place avec évidemment l'implantation de nouvelles signalisations lesquelles ne font pas l'unanimité chez les conducteurs. En effet, ceux-ci reprochent l'exagération dans le nombre de plaques de sens interdit, ce qui a compliqué davantage à leurs yeux la circulation. Autre constat amer pour les automobilistes ainsi que les commerçants, le nombre de plaques pour réguler le stationnement est quasi insignifiant, ce qui est à l'origine de désordre qui ne semble pas une priorité pour les responsables de ce nouveau plan. Aménagement du marché Le marché sera très incessamment aménagé, c'est ce qui a été avancé par les services de la direction du commerce. Aussi bien le marché des légumes et fruits que les stands seront remis à neuf. C'est un budget spécial monté par l'APC et la direction du commerce qui servira ainsi cette opération qui touchera le sol du marché des fruits et légumes et les différents stands. 700 logements prêts à la distribution Environ 700 logements seront très prochainement distribués dans le cadre social. Parmi ces logements, 500 ont été réalisés par des entreprises chinoises dans un délai record alors que le reste a été achevé voilà plus de 7 années. La liste des bénéficiaires est, selon la cellule du logement,quasiment arrêtée. À noter que le nombre de demandeurs de logements sociaux est de 13 000. Le cimetière affiche complet C'est finalement la débrouille pour enterrer ses morts au cimetière de Lalla Maghnia. En effet, le cimetière affiche complet depuis longtemps, et devant l'indisponibilité de cimetière (ou plutôt l'éloignement du nouveau cimetière dont toute la population a refusé l'emplacement), la moindre place aussi minime soit-elle est utilisée pour l'enterrement. Devant cet état de fait, le citoyen s'inquiète sur l'issue de cette pratique pour laquelle les responsables n'ont pas l'air de trop donner d'intérêt ou bien attendent-ils que la saturation extrême du cimetière Lalla Maghnia pour agir ? AMMAMI Mohammed