Leadeur de l'emploi et du recrutement en Algérie via Internet, Emploitic.com a lancé hier la nouvelle version de son portail Internet www.emploitic.com avec l'usage de la technologie du Web 2.0. Quatre ans après le lancement de la première version du site, cette démarche s'inscrit, selon Djaffar Louaï, directeur associé d'Emploitic.com, dans une dynamique mondiale des sites d'emploi et dans le souci d'améliorer le service. “Avec cette nouvelle version, Emploitic.com innove, adopte des pratiques de niveau international et s'inscrit dans une tendance mondiale visant à généraliser les technologies du Web dans les sites d'emploi”, a-t-il déclaré, lors d'une conférence de presse hier à l'hôtel Hilton, à Alger. Il a expliqué que cette nouvelle version comporte de nombreuses innovations destinées à aider les entreprises à optimiser leur temps de recherche et de traitement des curriculum vitae des candidats. “Parmi les avantages qu'offre le recrutement par Internet, l'accessibilité aux annonces qui permet une large diffusion de l'information dans un temps restreint et la possibilité de cibler les candidats en recherches passives”, a précisé M. Louaï. Présent sur le marché du Network algérien depuis 2006, emploitic.com informe les demandeurs ou encore les candidats de l'actualité de l'emploi à travers son service Newsletter. Une série de services gratuits, pratiques, rapides et innovants sont mis à leur disposition sur une simple inscription. En 4 ans d'exercice, plus de 2 500 entreprises, tous secteurs confondus, ont publié des offres d'emploi sur ce site et plus 170 000 candidats sont, également, inscrits. Durant la même période, emploitic a réalisé 20 000 recrutements en Algérie. Avec ces taux, ce site est considéré comme le leadeur du marché du network en Algérie avec 1,9 million de pages vues et 450 000 visiteurs par mois. Parmi les secteurs offreurs d'emploi sur ce site, nous apprenons que l'industrie est placée en première position avec un taux de 29%. Elle est suivie par le commerce et la distribution avec 20%. Quant à l'informatique et les télécommunications, elles occupent la troisième position avec un taux de 16%.