Mostaganem : 10 ans de réclusion criminelle pour attentat à la pudeur Siégeant en vertu d'un premier rôle additif prolongeant la seconde session criminelle entamée le mois dernier, le tribunal criminel près la cour de Mostaganem a reconnu le prévenu Ch. A., âgé de 26 ans, coupable d'attentat à la pudeur avec violence contre mineur et l'a condamné à la peine de dix années de réclusion criminelle. Les faits de cette affaire jugée durant l'audience d'hier remontent au 23 novembre de l'année passée. En cette journée, alors que la victime, un adolescent de 16 ans, se trouvait à proximité du lycée de la bourgade d'Aïn Nouissy, elle fut brutalement abordée par l'accusé qui, lui “collant” un couteau au cou, le força à l'accompagner jusqu'à la forêt dominant la ville. Sur place, le mis en cause abusa de l'adolescent et le contraint à subir un acte contre nature. Un acte qui marquera physiquement et moralement la victime dont le père s'empressera d'aller déposer une plainte auprès des services de sûreté de daïra. A l'issue d'un réquisitoire particulièrement sévère, le représentant du ministère public requit une sentence non moins cinglante : douze années de réclusion. M. O. T. Relizane : Les services d'état civil submergé par les demandeurs du S 12 Les employés des différents services d'état civil de l'ensemble des communes de la wilaya font face à une forte demande de l'extrait de naissance S12. Ils éprouvent beaucoup de difficultés ces derniers jours quant à la satisfaction des demandes des extraits d'acte de naissance qui vient s'ajouter aux autres documents d'état civil pour la constitution de dossiers administratifs, notamment les nouveaux passeports et nouvelles cartes nationales d'identité. Quelques jours passés, après le lancement de l'opération biométrique, un rush caractérise la plupart des communes de la wilaya. Alors que la période de renouvellement des dossiers administratifs commence, en préparation de la rentrée sociale et scolaire 2010/2011 la pression s'exerce chaque jour davantage sur le service d'état civil. C'est du moins ce qui est constaté quotidiennement à travers les différentes communes, dont les guichets sont assaillis par des chaînes interminables. Comme pour compliquer les choses, la rareté pour ne pas dire le tarissement des imprimés n'est pas pour faciliter la tâche des uns et des autres. N. Aymen