Ce n'est pas le titre d'une fable de La Fontaine, mais juste la situation “insolite” du CEM Ibn Badis de Tébessa. Par négligence ou insuffisance professionnelle des responsables de l'établissement, l'institution est laissée à la merci d'un individu, revendeur de ferraille pour véhicule. Ce dernier, qui prétend représenter les parents d'élèves, secondé par des ouvriers d'entretien (et non par des surveillants) “armés” de bâton dispense “sa pédagogie” à chaque rentrée des classes (matins et après-midi) dans une ambiance “carcérale” par des bastonnades, cris, insultes et autres grossièretés envers les élèves. C'est pour cela que j'attire l'attention des responsables concernés sur cet état de fait, ridicule et préjudiciable à l'image du système éducatif que les hauts responsables du secteur de l'éducation nationale tentent en vain d'améliorer. Et ce, par la faute des comportements anarchiques de certains gestionnaires d'institutions éducatives. Senni Ahmed chérif Quartier des Ecoles Ilot 068 n°11 (Tébessa)