Lors de la saisie du Radar, paru le lundi 25 juillet sous le titre : APC d'Amizour. “Un militant associatif passé à tabac”, une malencontreuse erreur s'est glissée dans le texte. Au lieu d'écrire que “Le ton est monté d'un cran d'où l'intervention d'un agent de sécurité, qui se trouve être le frère du premier vigile”. Vigile dans le sens de sentinelle, de personne exerçant une fonction de surveillance donc du premier agent de sécurité. On a écrit par mégarde : “qui se trouve être le frère du maire”. Nos excuses au maire d'Amizour, qui a déjà fort à faire avec cette affaire qui lui tombe sur les bras alors qu'il est en congé de détente, mais aussi à nos lecteurs.