ll Sous la pression du mouvement associatif et de la revendication identitaire que connaît le grand Aurès depuis plus d'une quinzaine d'années, l'administration feint une ouverture et une possible écoute. Hélas, il s'avère que ce n'est qu'une manœuvre de plus. Le tombeau d'Imedghassen, car c'est de lui qu'il s'agit, vient enfin d'avoir un écriteau et une signalisation qui lui est consacrée : Nom du tombeau, édification, datation... en deux langues seulement (français et arabe). Une autre fois encore, la langue mère du probable monarque ou roi amazigh, à la mémoire duquel a été édifié le tombeau, est bannie, niée, chassée.