Lycée Draoui Boumerdès : Les élèves observent une grève pour exiger le chauffage Des dizaines d'élèves de la classe terminale du lycée Draoui de Boumerdès ont fait grève jeudi pour exiger la mise en service du chauffage en panne dans leurs classes comme ils ont demandé qu'on leur fixe le seuil de la révision des cours. Les lycéens ont également évoqué le problème des tableaux détériorés en raison du manque de produits. “Les tableaux ne s'effacent pas et le froid glacial nous empêche de travailler”, affirment les protestataires qui ont marché jusqu'au siège de la direction de l'éducation pour faire valoir leurs revendications. Une délégation aurait été reçue par des responsables de l'administration et des promesses leur ont été faites pour l'examen de leurs doléances. M. T. LAGHOUAT : Le P/APC de Hassi Dellaâ agressé dans son bureau Le P/APC, M. B. Mokhtar, de Hassi Dellaâ, localité située à quelque 130 km au sud-est de Laghouat, a été sauvagement attaqué dans son bureau, par un citoyen de la même localité. En effet, suite à une vive altercation entre le P/APC et un père de famille d'une quarantaine d'années, celui-ci a utilisé une chaise pour agresser le maire. Selon des indiscrétions, l'auteur de cette agression, qui a appris que son nom ne figurait pas sur la liste des bénéficiaires des vingt logements à distribuer au quartier du 8 Mai de Hassi-Dellaâ, s'est dirigé droit vers le P/APC pour l'interpeller. L'intervention des sages de la région semble avoir convaincu le P/APC pour ne pas porter l'affaire devant les tribunaux. BOUHAMAM Arezki Koléa : Cité des Frères Saleh : le CTC saisi Le CTC a été saisi afin de dépêcher une équipe pour examiner la situation de la cité des Frères Saleh (ex-Tafsa) de Koléa, apprend-on auprès de l'OPGI. “Nous avons saisi le CTC afin de faire un état des lieux et décider ensuite après enquête s'il y a lieu de réhabiliter ou de procéder à la démolition des bâtiments de la cité en question”, selon ce qui ressort de la déclaration de la directrice de la section OPGI de Koléa. La cité des Frères Saleh est un ensemble de quatre bâtiments vétustes de type F2 et relevant du projet du plan de Constantine. Selon les représentants des habitants, quelque 140 familles, un précédent contrôle effectué en 1980 a ordonné la démolition desdits bâtiments, indique-t-on. Le marché de véhicules de Souk-El-Mexique indésirable Le marché de véhicules d'occasion de Souk-El-Mexique de Koléa est devenu indésirable, selon ce qui ressort des déclarations de quelques citoyens de la localité et notamment des riverains. “Nous avons entendu dire que les autorités locales ont prévu de délocaliser le marché de véhicules du côté de Oued Mazafran”, déclare Sid-Ali, un riverain tout en soutenant mordicus tenir cette information de source officielle. Le marché de véhicules d'occasion emprunte chaque mardi de la semaine les esplanades du célèbre Souk-El-Mexique, un lieu qui était une vingtaine d'années auparavant un marché hebdomadaire. Aujourd'hui les affaires sont florissantes malgré les dénégations de ses habitués, le marché est quotidien et il y a même la journée de mercredi réservée aux déambulations de la gent féminine. Douar Imekraz “Nos enfants ont besoin de transport scolaire” ll “Nos élèves sont sans transport scolaire à ce jour”, se plaignent les habitants du Douar Imekraz, une bourgade relevant de la commune de Koléa. “Nous avons besoin de transport scolaire pour nos enfants, une vingtaine d'élèves poursuivant leur scolarité en ville au niveau du CEM Les Frères Mameri. Ils sont pénalisés et sont rabroués souvent par leurs professeurs lorsqu'ils arrivent en retard”, insiste la représentante des plaignants. Le douar Imekraz, du nom d'un des célèbres martyrs de la Révolution est un petit bourg relevant de la commune de Koléa, indique-t-on. Mohammed Djamel Boufarik : Un local communal transformE en “villa” Un local d'une dimension 4x4 m que l'APC de Boufarik avait attribué à l'équipe de basket-ball des handicapés pour l'exploiter à titre locatif pour vendre des articles de sport, s'est transformé par la suite en cafétéria avec terrasse. Son exploitant, qui a accaparé le local n'a pas trouvé mieux que de procéder à des extensions. Sans aucune autorisation de construire, il érige des piliers sur la première dalle pour transformer le local en villa. Devant cet état de fait, les habitants s'interrogent tout de même, jusqu'où ira l'exploitant du local communal ? Par ailleurs, les travaux d'aménagement que connaît le fameux boulevard des Fidaïne, ex-Zenket Laârab, à Boufarik, ne sont pas encore achevés en raison d'une autre extension d'un local appartenant aussi à l'APC de Boufarik, et que son exploitant refuse la démolition de l'extension. K. FAWZI