Vu la situation catastrophique du transport maritime dans notre pays, le FCE a décidé d'y consacrer une journée d'étude avec l'espoir de redresser la barre pour empêcher le naufrage. Qu'on en juge : sur les 112 navires du pavillon national, 80 sont la propriété de la Cnan assurant 35% du trafic, il n'en reste que 14 dont 8 à l'arrêt (certains sont même séquestrés. Au final, ils n'assurent que 1,1% du trafic. Et pour faire face à la demande, on fait appel à des affréteurs. Même avec ces derniers, ça tangue apparemment, puisqu'ils ont décidé d'imposer le paiement d'avance depuis le mois d'avril, date d'expiration de leur ultimatum.