Levée de boucliers à Batna où la licence et la culture amazighe sont bannies de l'université de Batna, alors que le mouvement associatif se mobilise pour l'ouverture d'un département de tamazight au sein de cette université. Les militants précurseurs et initiateurs du mouvement culturel amazigh (Aurès) rappellent, dans un communiqué, que ce n'est pas la première insulte faite à tamazight dans la capitale des Aurès. En effet, dans les années 1990, il y avait déjà le refus du nom Imedghassen à l'aéroport de Batna, le refus d'un séminaire international consacré à tamazight, même la stèle de la Kahina n'a pu trouver place que dans son pays natal, après le niet affiché par un groupe qui se réclamait de la famille révolutionnaire. Nom Adresse email