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LA DECISION DU MSP SUR LA PARTICIPATION OU LE BOYCOTT SERA CONNUE AUJOURD'HUI
Makri : "Le Président malade est devenu un jouet entre les mains des trabendistes..."
Publié dans Liberté le 25 - 01 - 2014

Après plusieurs tentatives, paraît-il, vaines, de trouver une alliance avec différents partis et/ou personnalités politiques, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) s'en remet, désormais, à son madjliss echoura, instance suprême du parti, qui devra trancher, aujourd'hui, entre sa participation en solo ou le boycott de l'élection présidentielle. Dans son discours fleuve qu'il a lu hier à l'ouverture de la session ordinaire du madjliss echoura, le président du MSP, Abderrezak Makri, a, en effet, laissé entendre que l'option de trouver une alliance avec des partis de l'opposition serait définitivement tombée à l'eau et qu'il ne reste plus qu'à choisir entre présenter un candidat du parti et boycotter cette échéance. Pour M. Makri, l'élection présidentielle du 17 avril prochain n'est pas forcément la priorité du MSP, mais elle revêt, tout de même, une "importance capitale" pour le pays.
"Cette élection n'est pas importante pour notre mouvement car, avant tout, le MSP n'est qu'un parti qui doit prononcer sa position selon ses valeurs, à chaque échéance qui se présente. Par contre, la prochaine élection présidentielle reste très importante pour l'Algérie, étant entendu que notre pays n'a plus de temps à perdre, après avoir déjà perdu plus d'un demi-siècle. Cette fois-ci, la perte de temps pourrait s'avérer fatale !", a averti M. Makri, regrettant au passage la "dégringolade de la morale" en Algérie où "le Président malade est devenu un jouet entre les mains des trabendistes, des forces obscurantistes (...)". Le président du MSP s'en prend à ceux qui, dit-il, "parlent du Président, sans piété ni pitié, et qui veulent l'imposer par toutes leurs forces aux Algériens dans une période d'humiliation des citoyens que ni le temps ni l'histoire n'effaceront (...)". Selon M. Makri : "Le seul intérêt de ces gens-là est d'assurer la
pérennité de leurs privilèges ; cette classe de gens gravitant autour du Président ne cherche pas plus qu'à se maintenir et éviter son éclatement, et ce, en dépit de ses grandes divergences (...)". M. Makri n'y va pas sans vilipender la politique menée par l'actuel pouvoir qui, selon lui, n'a produit que "l'échec et la corruption." Pour sauver le pays du joug de la corruption, le président de ce parti islamiste a préféré une "fetwa" dont il doit, désormais, revendiquer les droits d'auteur à un programme politique alternatif. La voici : "Il faut que cette corruption disparaisse quelles que soient sa force et sa généralisation ; la lutte contre la corruption est un jihad au nom de Dieu, pas moins honorable que le jihad contre les sionistes en Palestine !" Pour M. Makri, le changement est plus que jamais possible, car, estime-t-il, le système qu'il qualifie "d'ogre"... "est aujourd'hui affaibli, mais cherche encore à gagner une prolongation au pouvoir, rien que pour se protéger et préparer son avenir (...)".
F. A
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