Suite à l'article paru le 9 août dernier, le directeur de l'AADL a apporté les précisions suivantes. La situation présentée par votre journal donne un tableau inexact et déforme la réalité à tel point que l'on en oublierait que des milliers de familles ont pu bénéficier et jouir d'un logement suite à des attentes combien longues et angoissantes. Il faut croire que certains ne souhaitent retenir et rechercher que des raisons, pas toujours évidentes à démontrer, mais uniquement en vue de discréditer l'opération de livraison et l'institution qui la conduit au profit de tous ceux qui cherchent un toit. Si livraisons il y a eues, elles n'en sont que partielles, et s'expliquent aisément par les désagréments induits par la continuité des travaux sur l'ensemble des sites, exception faite de celui d'El-Achour, achevé en totalité. Néanmoins et pour assurer les commodités de base des logements occupés, l'AADL a pris toutes les dispositions nécessaires pour faciliter le quotidien des habitants. À ce titre, l'eau, l'électricité et le gaz se présentent au premier rang de ses priorités qui, faut-il le rappeler, dépendent des organismes que sont l'ADE et Sonelgaz. L'alimentation en eau se fait donc selon le programme de distribution de l'ADE. L'ensemble des logements mis en exploitation sont également alimentés en énergie électrique. La question du gaz reste, quant à elle, conditionnée par l'installation des compteurs par la Sonelgaz.
