L'annexe de l'APC de la ville de Sétif (service de l'état civil) fait encore parler d'elle. Outrés par le mépris et le traitement que leur ont réservés les préposés aux guichets, des citoyens ont dénoncé la manière avec laquelle ils ont été renvoyés chez eux après de longues et interminables queues devant les guichets. La raison : il n'y a plus d'imprimés de bulletin de naissance. Durant deux jours, les citoyens étaient condamnés à se procurer ce précieux imprimé (photocopies) pour se faire délivrer un document d'état civil. Le comble est que cette situation a coïncidé avec le délai fixé au dépôt des dossiers de logement (Fnpos). Il est vrai que l'APC s'occupe de la gestion des “affaires courantes” et des “crises internes”, mais pas au détriment du contribuable.