El-Hachimia (Bouira) : Un adolescent de 14 ans violé La paisible commune d'El-Hachimia, à une vingtaine de kilomètres au sud de la ville de Bouira, est en émoi après le viol d'un jeune adolescent de 14 ans. Selon des sources locales, les faits de cette sordide affaire remontent à mercredi dernier, lorsque le petit enfant a été enlevé et séquestré puis sauvagement violé par deux individus. Après leur acte abject, ces bêtes humaines ont pris la fuite, laissant l'enfant gisant inconscient sur le sol. La victime, aussitôt découverte, a été évacuée vers l'hôpital de Sour El-Ghozlane, puis acheminée vers le CHU de Tizi Ouzou, d'où elle est sotie jeudi soir. La famille de la victime a porté plainte et une enquête a été ouverte par les services de sécurité afin de retrouver les deux agresseurs. R. B.
Sour El-Ghozlane (Bouira) : Un réseau de trafic de psychotropes démantelé Les services de la BMPJ de la daïra de Sour El-Ghozlane ont réussi en fin de semaine dernière à démanteler un réseau de trafic de psychotropes et saisi 17 000 pilules de produits prohibés. Selon des sources sécuritaires, 7 personnes, dont une pharmacienne et un médecin originaire de Sidi Aïssa (M'sila), ont été déférés devant le procureur de la République de Sour El-Ghozlane, qui a ordonné la détention préventive pour 6 d'entre eux et la mise sous contrôle judiciaire de la pharmacienne. Cette affaire remontre, selon les mêmes sources, au début d'au mois d'octobre, lorsque les éléments de la BMPJ ont appréhendé un groupe de dealers qui ont, dans leurs aveux "balancé" tout le réseau. Le médecin se chargeait de prescrire des ordonnances "bidon" que la pharmacienne se chargeait de servir contre des commissions. R. B. Les robinets à sec à L'Arba : Courroux contre l'ADE Les habitants de la ville de l'Arba souffrent du manque d'eau. Depuis quelques mois, l'eau devient de plus en plus rare et les citoyens la reçoivent un jour sur trois alors qu'elle était rationnée, un jour sur deux. Cette situation a provoqué la colère des clients de l'ADE qui ne trouvaient aucun responsable à qui se plaindre. "Nous étions mieux avec les APC", fait remarquer un citoyen qui s'interroge pourquoi certains quartiers reçoivent l'eau tous les jours et d'autres non. "Nous n'avons pas d'autres moyens que d'acheter l'eau des citernes dont le prix a d'ailleurs augmenté jusqu'à 1000 DA", ajoute-t-il en accusant l'ADE de ne rien faire pour régler le problème. L'ADE ne donne même pas la raison de sa défection ni la date de la reprise de l'alimentation régulière en eau. K. FAWZI