Le wali de Bouira, Nacer Maaskri, semble déterminé à en finir avec le dossier de la démolition de la cité Aïnouche-Hdjila, appelée communément la cité Evolutive. Il a insisté, encore une fois, sur "l'urgence" de faire disparaître cette entité résidentielle, datant des années 1970, au motif qu'elle menace ruine et, par là même, la sécurité de ses habitants. Quelque peu agacé par une question de Liberté, le chef de l'exécutif de la wilaya a soutenu qu'il n'y aura pas de marche arrière quant à la démarche. "Les propriétaires n'ont qu'à se conformer à la loi !", a-t-il complété sans se laisser influencer. Rappelons que les habitants de ladite cité s'opposent fermement à toute démolition, sans qu'ils soient dédommagés par un acte de propriété immobilière attribué par l'Etat. "La plupart d'entre nous sont propriétaires de logements. Certains ont payé chers ces appartements. Et maintenant on vient nous proposer des logements sociaux dans le cadre du recasement pour lesquels on nous demande de payer un loyer mensuel. C'est inconcevable et surtout injuste", dénoncent-ils.Le wali de Bouira, Nacer Maaskri, semble déterminé à en finir avec le dossier de la démolition de la cité Aïnouche-Hdjila, appelée communément la cité Evolutive. Il a insisté, encore une fois, sur "l'urgence" de faire disparaître cette entité résidentielle, datant des années 1970, au motif qu'elle menace ruine et, par là même, la sécurité de ses habitants. Quelque peu agacé par une question de Liberté, le chef de l'exécutif de la wilaya a soutenu qu'il n'y aura pas de marche arrière quant à la démarche. "Les propriétaires n'ont qu'à se conformer à la loi !", a-t-il complété sans se laisser influencer. Rappelons que les habitants de ladite cité s'opposent fermement à toute démolition, sans qu'ils soient dédommagés par un acte de propriété immobilière attribué par l'Etat. "La plupart d'entre nous sont propriétaires de logements. Certains ont payé chers ces appartements. Et maintenant on vient nous proposer des logements sociaux dans le cadre du recasement pour lesquels on nous demande de payer un loyer mensuel. C'est inconcevable et surtout injuste", dénoncent-ils.