Le cancer du rein est relativement peu fréquent en Algérie. L'incidence se situe entre 2 et 2,5 pour 100 000 habitants. Ce qui fait environ 800 à 1 000 nouveaux cas dans le pays. Si le dépistage précoce promet une guérison totale, le diagnostic tardif reposant surtout sur la thérapie ciblée et dans le futur proche sur l'immunothérapie, alors qu'il y a vingt ans, les personnes atteintes de ce cancer au stade de métastase n'avaient aucune chance de s'en sortir. Justement, les journées onco-urologiques auront lieu à partir de mercredi à Constantine, sur les thérapies ciblées qui sont introduites progressivement en Algérie.