L'écrivain, romancier et dramaturge, Karim Akouche, revient avec un nouvel ouvrage, La religion de ma mère (éditions Frantz-Fanon). À cette occasion, l'auteur d'Allah au pays des enfants perdus, effectuera une tournée de promotion en Algérie, en Europe et en Amérique, où il animera des rencontres-débats et signera son livre. À ce propos, les 15 et 24 mars, il donnera des conférences, respectivement, à l'auditorium de Hasnaoua (université de Tizi Ouzou), et au café littéraire d'Idjer. Le 25 mars, il sera l'invité du café littéraire de Bouzeguène, le 31 du même mois, au café littéraire de Boudjima. Suite à cette tournée algérienne, le romancier s'envolera pour le mois d'avril, à Montréal, Paris, Bruxelles, Espagne, Marrakech et New York. "La Religion de ma mère est un roman totalement original, en ce sens qu'en le lisant on ne pense à rien de ce qui s'est fait avant. J'ai baptisé cette manière d'écrire le style mitraillette, car de la plume inspirée de Karim naît une atmosphère d'une surprenante originalité", a indiqué l'écrivain haïtien Gary Klang dans la postface du roman. Et de préciser : "Ses mots jaillissent avec la rapidité et la force des balles d'une mitraillette qui ne cracherait pas de l'acier pour tuer mais des phrases qui ne laisseront personne indifférent." Au sujet de la trame, La religion de ma mère est un roman sur "la désintégration de l'être humain parce qu'après la disparition de sa mère, le personnage principal, Mirak, s'exil à Montréal", alors, son père devient fou, et son frère se transforme en djihadiste... C'est un ouvrage, en somme, qui exprime la folie et la confusion de notre époque. Pour rappel, Karim Akouche est un écrivain algérien qui vit à Montréal (Canada) depuis 2008. Il est l'auteur de Toute femme est une étoile qui pleure, J'épouserai le Petit Prince et Allah au pays des enfants perdus. O. Ghilès