De nouveaux pourparlers de paix sur la Syrie se sont ouverts hier à Astana, la capitale du Kazakhstan, pour discuter notamment de la situation humanitaire jugée de plus en plus préoccupante, ont annoncé les autorités kazakhes. Il s'agit du septième round de ces négociations parrainées par la Russie, l'Iran et la Turquie, qui ont abouti surtout à la mise en place de zones de désescalade dans plusieurs régions de Syrie. Annoncée sur deux jours, cette nouvelle rencontre prévoit des consultations à huis clos hier et une déclaration à la presse aujourd'hui, selon la diplomatie kazakhe. "Des négociations à huis clos ont commencé", a indiqué hier le porte-parole du ministère kazakh des Affaires étrangères, Anouar Jaïnakov. Selon lui, les délégations du gouvernement syrien et de l'opposition armée, ainsi que celles des pays parrains des pourparlers sont déjà arrivées à Astana. Le processus de paix d'Astana se concentre sur les questions militaires et techniques et se déroule en parallèle à celui, politique, de Genève. R. I./Agences