De nouveaux pourparlers de paix sur la Syrie se sont ouverts lundi à Astana, la capitale kazakhe, pour notamment discuter de la situation humanitaire jugée de plus en plus préoccupante dans ce pays. Prévu pour deux jours, il s'agit du septième cycle de ces négociations parrainées par la Russie et l'Iran, alliés de Damas, et la Turquie, soutien des rebelles, qui ont surtout abouti à la mise en place de zones de désescalade dans plusieurs régions syriennes. L'émissaire du Kremlin pour ces négociations, Alexandre Lavrentiev, a assuré aux journalistes à l'issue de la première journée de consultations à huis clos lundi qu'un règlement politique était possible en Syrie.