Dans l'affaire opposant le DG du port de Béjaïa à notre porte-parole Mourad Bouzidi, le verdict est tombé aujourd'hui, 2 janvier 2018 : trois mois de prison avec sursis et 20 000 DA d'amende à l'encontre de notre porte-parole. La coordination des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements économiques est consternée et scandalisée par une telle décision qui porte atteinte aux droits de l'Homme, à la liberté d'expression et d'opinion et qui va à l'encontre des attentes des travailleurs et de tout citoyen épris de justice et de liberté. La coordination considère qu'une fois de plus la justice algérienne est instrumentalisée. La coordination nationale invite son porte-parole à faire appel de cette décision tout comme elle lui apporte son soutien indéfectible et sa solidarité agissante et appelle les partis politiques, les responsables d'association, les militants des droits de l'Homme et les élites à se prononcer sur ce déni de justice. Notre combat, pour le déblocage des équipements de Cevital, le développement économique de notre pays, l'espoir pour notre jeunesse, l'équité, la liberté d'entreprendre, l'emploi et le droit à l'expression continuera. Nous ne nous tairons pas. Alger le 02 janvier 2018, Coordination nationale des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements