Sur décision du wali de Tizi Ouzou, vivement interpellé par la population locale lors de sa récente visite d'inspection dans la localité, il a été aussitôt procédé à la fermeture de pas moins de cinq bars ouverts clandestinement au chef-lieu de la daïra des Ouacifs. Ne restent ainsi en activité que deux autres bars, l'un situé au lieudit Tala n'Tzemmurt, à mi-chemin entre Ouacifs et Aït Toudert, et l'autre, au Ouacifs-centre et dont la légalité de l'exercice, selon la vox populi locale, est sujette à controverses. Si, pour certains, il s'agit simplement de points de vente que les propriétaires ont transformé, impunément, en bars, pour d'autres, l'une de ces deux boutiques emploierait des filles de joie, originaires d'autres contrées du pays, comme appât pour attirer une plus large clientèle. A. K