Monsieur le directeur, en rappel des dispositions de la loi organique n° 12/05 du 12.01.2012 relative à l'information et notamment l'article 100 et suivants, je vous prie de bien vouloir insérer sur les pages de votre quotidien la présente mise au point en réponse à l'article que vous avez publié sur votre édition parue le mercredi 08.01.2020. "Vos lecteurs ont dû prendre connaissance de l'information publiée à la date sus-indiquée en page 2 sous le titre : ‘Houda Imène Feraoune et Djamila Tazaïrt, entendues dans des dossiers de corruption'." Dans cet article, il a été rapporté des faits non avérés, mettant injustement en cause les frères Kouninef qui auraient passé des marchés publics avec l'entreprise Algérie Télécom dans des conditions pour le moins irrégulières. Outre le caractère tendancieux lors de l'exposé des faits de la cause, de nature à tromper l'opinion publique, les frères Kouninef contestent formellement la véracité de l'information et affirment ne pas être concernés par les affaires rapportées. En attestant que les consorts Kouninef n'ont aucun lien de parenté ou d'alliance familiale avec les personnes mises en cause dans votre article incriminé. Dans l'attente que l'institution judiciaire connaisse des faits supposés délictueux, si tant est qu'ils relèvent de la compétence de la juridiction pénale, les frères Kouninef se réservent le droit de tenter telle action qu'ils estiment utile pour faire cesser toute velléité de travestissement de la vérité et engager la responsabilité de l'auteur conformément à l'esprit et à la lettre de l'article 115 de la loi organique n° 12/05.