L'éventualité de la candidature de M. Aïssaoui aux élections de la FAF pose problème visiblement puisque l'intéressé lui-même ne se lance pas dans le bain pour le moment pour des raisons multiples. À commencer par sa capacité à se porter candidat, et ce, selon les statuts actuels de la FAF. En effet, ayant été “démis de ses fonctions” de la FAF par les pouvoirs publics au lendemain du désastre face au Kenya, (éliminatoires du mondial 98), Aïssaoui n'a pas obtenu donc le quitus de l'assemblée générale de la FAT et encore moins fini son mandat. Cette “faille” justement tombe sous le coup de la loi fafienne. Selon les statuts actuels de la FAF, article 47, un ex-président ou membre du bureau fédéral ne peut être éligible que s'il a obtenu le quitus de l'AG à la fin de son mandat. Même si Aïssaoui passe par la fameuse liste des experts du MJS, il ne pourra pas postuler aux élections d'où apparemment son hésitation. S. B.