L'élan de modernisation et d'innovation au sein de la BADR se poursuit et confirme le plein investissement de cette banque en direction de la qualité de service redéfinie sur une nouvelle approche d'accueil et de prise en charge de la clientèle. Dans ce sens, une 5e promotion de cadres une centaine de jeunes, puisés dans le “réservoir” à la faveur de concours rigoureux, est venue renforcer la stratégie affichée par cette banque. La cérémonie de remise des attestations et de diplômes a eu lieu, jeudi dernier, à l'hôtel Sofitel en présence de M. Farouk Bouyacoub PDG de la BADR et du directeur général de la Société interbancaire de formation (SIBF). Ce sont les nouveaux chargés de clientèle, formés à la SIBF, suivant les recommandations et approches précises de la BADR. Après quatre mois de stage avec des modules inédits, tels que les techniques de communication, l'offensive commerciale et l'étude comportementale, ces nouveaux banquiers d'élite auront acquis, nous signalera M. Bouyacoub, une polyvalence totale dans leur métier. En clair, ils sont immédiatement opérationnels sur le terrain. La nouveauté introduite sur cette fonction par la BADR, et qui n'a pas manqué d'ailleurs de susciter l'intérêt des experts européens et canadiens, consiste à rassembler tous les compartiments et services bancaires entre les mains d'un seul interlocuteur : le chargé de clientèle. Dans le concept que lui confère la BADR, celui-ci, qui fait presque office d'un “guichet unique” au sein de la structure bancaire, répond à toutes les sollicitations et gère un portefeuille clients dont il est censé connaître les moindres détails. “La présentation, l'écoute, l'accueil et la promptitude à l'action” sont des éléments fondamentaux pour une telle mission, dira le PDG de cette banque pour qui “la conduite et la tenue des chargés de la clientèle doivent être irréprochables”. D'où le tri rigoureusement opéré dans la sélection de ces cadres destinés aux agences banques assises, suivant le programme établi pour la généralisation de ces guichets construits selon une architecture bancaire moderne. Une conception pas seulement assise sur un capital technique mais aussi et surtout sur la revalorisation par la formation à objectifs déterminés des ressources humaines. A. W.