Dans une interpellation, accompagnée d'une pétition et d'une copie d'un document établi par l'APC d'Alger-centre et adressé en mai 2004 à l'OPGI d'Hussein Dey, les habitants de l'immeuble sis au 30, avenue Mokrane-Chaâbi, tirent la sonnette d'alarme quant au danger imminent d'effondrement de leur immeuble. Des marches d'escalier soutenues par des planches, des infiltrations d'eau, une étanchéité défectueuse et autres fissures, ces familles, au nombre de huit, estiment qu'il serait impossible d'effectuer des travaux d'extension tant que certaines parties de l'immeuble sont en ruine.