Concours inter-jeunes à Tizi Ouzou La direction de la jeunesse et des sports de la wilaya de Tizi Ouzou vient d'instituer un concours de culture et de loisir appelé concours inter-jeunes. Concernant la bagatelle de seize disciplines, musiques populaire, moderne et andalouse, la photographie, la vidéo amateur, le théâtre pour enfants, le petit débrouillard, l'astronomie, le théâtre amateur entre autres, ce concours s'adresse aux jeunes âgés entre 13 ans et 30 ans que ce soit à titre individuel ou structurés au sein des maisons de jeunes, centres culturels, associations ou encore issus des établissements scolaires de la wilaya. Les participants retenus à l'issue des phases préliminaires qui auront lieu au niveau de chaque établissement de la jeunesse prendront part au festival de wilaya qui se tiendra dans le cadre des festivités commémoratives du 44e anniversaire de l'Indépendance du pays. A. K. Une antenne pour Sonelgaz à Aït Yenni Les autorités locales d'Aït Yenni viennent d'attribuer un local devant servir de bureaux pour les agents de Sonelgaz, leur facilitant ainsi l'opération de routine d'acquittement des quittances ou encore la prise en charge des réclamations. L'ouverture d'une telle antenne viendra ainsi soulager la population locale. Faut-il rappeler que les citoyens d'Aït Yenni sont forcés de se déplacer au fin fond de Larbaâ Nath Irathen où est située l'agence Sonelgaz pour la moindre réclamation. “Il nous arrive de renoncer à nos droits, à nos propres intérêts lors d'une quelconque réclamation, et pour cause, l'éloignement et les désagréments que coûterait le détour d'Aït Yenni à Larbaâ Nath Irathen en transitant obligatoirement par Tizi Ouzou”, nous avouera Hamid, fonctionnaire. Désormais, la population locale aura bénéficié d'une journée d'accueil : le lundi. En attendant, les retardataires sont d'ores et déjà priés de venir s'acquitter des factures de leur consommation. “Nous souhaiterons que les populations d'Iboudrarène et de Yattafène auront aussi saisi l'opportunité pour ne plus subir les désagréments cités”, ajoutera M. Tabèche. Décidément la population lance un ouf de soulagement en tentant d'oublier… les délestages. LIMARA B. Des logements surestimés à Azeffoun Les acquéreurs de logements à Azeffoun (63 km au nord-est de Tizi Ouzou) ne cessent de s'interroger sur les différences flagrantes dans l'estimation des biens de l'Etat cessibles. En effet, cette différence dans les prix de cession se situe entre des logements réalisés à la même époque et de même standing. Prenons l'exemple de la cité des 100-Logements à Azeffoun où l'entreprise communale avait réalisé cinq blocs dénommés “A, B, C, D, E”, avant d'être dissoute (1982-1992) laissant les trois premiers blocs finis, tandis qu'au niveau des blocs D et E, il ne restait que la plomberie, la vitrerie et la finition de la cage d'escaliers pour le dernier bloc (E).Ainsi les logements des blocs A, B et C ont été cédés à moins de 200 000 DA l'unité et ceux des deux autres blocs (D et E), pourtant réalisés à la même période, ont été estimés en 2005 à pas moins de 1 352 324 DA l'unité, soit 1 152 324 DA de plus par rapport au premier prix appliqué. Autrement dit, il s'agit d'une augmentation astronomique de 576,162% pour des logements ayant presque le même coût de réalisation. Ainsi, des locataires crient à “l'injustice et à l'iniquité”, demandant à l'Opgi et aux services concernés de revoir cette estimation en tenant compte cette fois-ci de l'année de réalisation et des prix de revient desdits logements. M. Benyakoub