Les portes de la ville de mascara déplacées Les Mascaréens de souche évoquent avec nostalgie les portes qui ont été érigées à chacune des entrées de la ville. Ainsi, il y avait la porte d'Oran, la porte d'Alger, la porte de Tiaret et celle de Saïda en références aux directions. Depuis, la ville de l'Emir Abdelkader s'est agrandie en long et en large et les mythiques portes se sont retrouvées presque au centre. Afin de préserver ces caractéristiques, l'APC a déplacé ces symboles en réalisant des portiques avec une pointe d'esthétique. L'hôpital sans directeur Depuis le début de l'année en cours, l'hôpital de Mascara est sans directeur. Un intérimaire a été désigné pour assurer la continuité du service mais ses pouvoirs sont limités. L'ancien directeur, dont la gestion était critiquée par les membres des syndicats des praticiens de la santé, a été muté dans une autre wilaya et depuis, l'hôpital fonctionne sans gestionnaire et les problèmes au départ énormes s'accumulent suscitant colère, indignation et inquiétude tant chez les travailleurs que chez les patients. BDL : nouvelle domiciliation Le siège qui abritait l'agence de la BDL se trouvait en état de dégradation avancé, ce qui a incité les responsables à procéder à sa fermeture afin d'entreprendre des travaux. Ainsi, et, pour assurer la continuité de ses services, l'agence a élu domicile dans les locaux de l'ancien café Beni-Chougrane non loin de la Cnep. Certes, les agents et les clients dénoncent l'étroitesse des lieux mais la situation étant provisoire, elle a été acceptée. Piratage des lignes téléphoniques ? À chaque bimestre des centaines d'abonnés d'Algérie Télécom sont surpris de voir porter sur leurs factures des sommes élevées, résultat des communications téléphoniques enregistrées. Comme toujours, en pareilles circonstances, les mécontents assiègent le central téléphonique pour déposer des réclamations et demander des relevés des numéros des appels effectués au cours du bimestre. En guise de conclusion, les contestataires dénoncent le piratage de leurs lignes, sans toutefois apporter la preuve car une telle accusation reste difficile à établir. A. B. Les viticulteurs de Hadjadj à Mostaganem régularisés Les responsables de la Caspevit de la wilaya de Mostaganem ont enfin réagi pour procéder à la régularisation des viticulteurs qui, depuis plus d'une décennie, sont dans l'attente d'une régularisation de leur dû. Cette bonne nouvelle a été bien appréciée par les viticulteurs da la wilaya de Mostaganem. MEDJADJI M.