Malgré les démentis, la peur de la grippe aviaire est bien réelle. Ainsi dès qu'un oiseau ou un pigeon est retrouvé mort, on pense immédiatement à cette épidémie qui sévit dans le monde. Pour lever tout doute et calmer les esprits, il serait judicieux que les pouvoirs publics mettent sur pied une structure d'intervention composée, entre autres, de vétérinaires pour examiner les cadavres des oiseaux et autres volatiles afin de rassurer la population. Un numéro vert est inutile pour une bonne communication avec la population.