En plus des rues impraticables, la boue “mouvante” dans chaque quartier, les trottoirs occupés, les poubelles entassées, l'éclairage public tamisé, voilà une autre “agression”, qui vient elle aussi s'accumuler sur le dos des Bordjis. Il s'agit de la prolifération de panneaux publicitaires et d'enseignes à l'entrée et au centre-ville. La pollution visuelle due aux publicités intempestives est une question préoccupante qui nous pousse à penser que la loi est bafouée à une large échelle. CHABANE BOURISSA