Centre universitaire de BEchar 1 000 places pédagogiques et une cité de 500 lits De nouvelles infrastructures devront renforcer “prochainement” le centre universitaire de Béchar grâce à réception de 1 000 nouvelles places pédagogiques et d'une cité de 500 lits à la nouvelle résidence universitaire, ont indiqué les responsables du centre universitaire de la wilaya. Ces chantiers, dont le président de la République avait donné le coup d'envoi lors de sa dernière visite dans la région en septembre dernier, s'inscrivent dans le cadre du développement et l'amélioration des infrastructures pédagogiques et d'accueil du centre, souligne-t-on de même source. Les deux projets, d'un coût global de 170 millions de DA alloués par le fonds spécial de développement des régions du Sud, sont en voie d'achèvement. Ils sont réalisés par plusieurs entreprises de travaux et du bâtiment locales. Le centre universitaire de Béchar accueille 5 208 étudiants. Ses capacités d'hébergement, de l'ordre de 3 200 places, seront renforcées par ces nouvelles réalisations, pour atteindre les 6 208 places pédagogiques. APS TIARET Les professeurs de français en stage Initié par l'Association nationale des enseignants de français (ANEF), en collaboration avec les inspecteurs généraux, un séminaire portant sur les rencontres pédagogiques a été organisé et ce, durant trois jours au lycée Ibn Rostom de Tiaret où ont pris part 80 professeurs de français issus des trois paliers et représentant les 13 wilayas affiliées à la dite association. À l'entame des travaux, M. Abboud, président de l'Anef, avait annoncé que tout professeur soucieux de sa mission doit préalablement faire montre d'une abnégation qui puisse honorer le code moral de sa noble profession. “Afin de parvenir à cet objectif, il est, de prime abord, nécessaire d'avoir recours aux outils d'accompagnement qu'est la documentation, voire des manuels scolaires et les différentes directives émanant des différentes hiérarchies pour prendre connaissance de ce qui se passe autour de soi”, devait-il préciser en rappelant que la donne nous dicte de savoir lire, exploiter et transmettre le contenu des dits documents. Dans ce sillage, la langue française qui a connu des retouches dans le programme, sachant qu'elle est introduite, depuis l'année scolaire 2004/2005, en 2e année primaire au lieu de la 4e année du même cycle, a été mise en exergue par l'intervenant qui a exhorté les assistants à une meilleure prise en charge de l'élève en s'accordant comme priorité de tenir compte de son profil et de son rythme. Une façon comme une autre de faire preuve d'un réalisme voulu afin de mieux se positionner et savoir exactement ce qui manque à l'enfant. R. SALEM