Beaucoup d'observateurs soulignent le dynamisme de cette banque et s'attendent à la poursuite de ses progrès en matière d'amélioration des services. Qualité de service, disponibilité, accueil personnalisé, mais surtout promptitude de prise de décision, tels sont, entre autres, les arguments commerciaux mis en avant par la BADR pour vendre ses produits aux opérateurs économiques. Lundi dernier, une délégation de l'une des plus importantes organisations patronales, le Forum des chefs d'entreprise, a été invitée à découvrir les nouveautés introduites par cette banque “au service de l'investissement”, comme le soutient M. Farouk Bouyakoub, PDG de la BADR. Cette dernière, qui affiche des prédispositions techniques et manageriales, inaugure l'année 2003 par une réduction révolutionnaire des taux d'intérêt pour les crédits à l'investissement. La révision du loyer de l'argent qui va jusqu'à 3,5%, conjuguée à la modernisation de ses structures, par effet d'introduction informatique au niveau de tous les compartiments, aura permis à la délégation du FCE de mesurer l'avancée d'ouverture et de la facilitation réalisée. En visitant la banque assise — agence Amirouche —, Omar Ramdane, Blanky ou encore Hamiani trouveront dans le schéma d'organisation conçu suivant un concept de rapprochement et de libre accès aux services bancaires, accompagnant l'acte d'entreprise, une bonne matière pour escompter établir une nouvelle forme de relations. Désormais, on parle de parternariat et on casse les tabous. Ce que n'ont pas manqué de souligner ces capitaines de l'industrie en reconnaissant le “courage et l'audace des dirigeants de la BADR”, innovant dans l'intermédiation financière et optant pour la promotion du “dialogue d'affaire”. Une charte non écrite vient d'être signée entre les deux parties pour les besoins d'un avenir plus que jamais lié par une interdépendance incontournable. C'était le message recherché. A signaler que la BADR participera à la campagne de sensibilisation “Consommons national”, lancée par le FCE, ces derniers temps. Il serait opportun aussi de “consommer bancairement national” dans ce paysage financier où la concurrence commence à se faire entendre. A. W.