Le ministre des Affaires religieuses a plaidé pour une véritable politique d'emploi en Algérie et de lutte contre le chômage. M. Bouabdallah Ghoulamallah, qui estime que l'Etat devra trouver un palliatif à certains dispositifs à caractère “social” en direction de la jeunesse, dira tout de go : “J'ai horreur du filet social.” Une déclaration qui laisse certains observateurs perplexes d'autant que d'aucuns n'ignorent pas que le provisoire et le populisme ne durent pas.