Les enjeux du LMD en Algérie, l'expérience de formation des assistants du supérieur, la recherche universitaire en Algérie, la gouvernance universitaire et territoriale “sont, entre autres, les communications programmées lors du colloque international sur l'évaluation de la formation universitaire en Algérie à l'ère de la mondialisation et de l'internationalisation.” Organisé par le centre universitaire Larbi Ben M'hidi d'OUM El Bouaghi, en début de semaine en collaboration avec l'UNESCO, cette rencontre a regroupé des participants venus de 16 universités algériennes, de 4 universités françaises et de 3 universités arabes (Tunis, Casablanca et Damas). Près de quinze communications ont été données à l'occasion par des experts arabes et français traitant surtout l'évaluation de l'évolution de l'université algérienne face aux défis de la mondialisation et de l'économie fondée sur les connaissances. Intervenant lors de l'ouverture de la manifestation scientifique, le ministre de l'Enseignement supérieur a tenu à mettre en exergue les efforts du gouvernement quant au développement de l'université algérienne.“L'adoption par le conseil du gouvernement des textes de loi sur le statut du chercheur ne sont que la première étape de la réhabilitation de l'enseignant-chercheur et sa place dans la société”, martèle Haraoubia avant d'ajouter que “l'objectif de l'université demeure la fabrication des esprits et la formation des élites pour intégrer la dynamique mondiale.” K. Messaad