Lors des douloureux évènements de Kabylie en 2003, nombre de personnes, notamment des commerçants, des industriels, ont subi des dommages collatéraux. Fatiguées d'attendre leurs indemnisations, selon les termes de l'accord signé en 2005 avec le gouvernement, elles ont décidé de se faire entendre. À la suite d'une réunion tenue vendredi, elles ont décidé de mettre en place une cellule de crise pour le suivi de leur dossier. Elles envisagent également des actions avec un appel à la solidarité des autres commerçants de la région. Une réunion d'évaluation est prévue pour vendredi prochain.