Bénéficiant du soutien inconditionnel d'Obama, assez explicite dans son dernier discours, voilà le régime sioniste qui s'élance de nouveau dans d'autres projets de colonisation. A cet effet, un projet de cent millions de dollars ( soit 365 millions de shekels) sera approuvé dimanche prochain pour la judaïsation d'Al-Qods. Bénéficiant du soutien inconditionnel d'Obama, assez explicite dans son dernier discours, voilà le régime sioniste qui s'élance de nouveau dans d'autres projets de colonisation. A cet effet, un projet de cent millions de dollars ( soit 365 millions de shekels) sera approuvé dimanche prochain pour la judaïsation d'Al-Qods. Ce nouveau «baptême» se tiendra au cours d'une séance officielle dans la mosquée de Kalat (château) de David, dans la zone de Bab Al Khalil (porte d'Hébron) limitrophe au mur historique d'Al-Qods, qui a été judaïsée et transformée en un musée baptisé «citadelle de David». Ce plan, qui sera réalisé au cours des cinq prochaines années, appelé «Soutien à l'économie de la ville d'Al-Qods», vise, d'une part, à soutenir le secteur touristique et le pôle de recherche dans la ville sacrée et, d'autre part, celui des plans dans la région du mur occidental de la mosquée sainte, et ce, au détriment d'un bon nombre de monuments arabes et islamiques. Et pourquoi pas !? Tant qu'on y est ! Revoilà le serpent à sonnette ! Le philosophe franco-sioniste Bernard-Henri Lévy se trouve depuis samedi à Misrata (ouest de la Libye) sous prétexte d'apporter à cette ville assiégée par les forces de Kadhafi un message de soutien de plusieurs communes de France, dont Paris. C'est ce qu'a annoncé dimanche sa revue La Règle du Jeu. L'objectif serait d'aider ces rebelles à «accomplir ce prodige » (selon les propos du porte-parole sioniste). Pour un prodige, c'en est un en attendant la reconstruction. Entreprises à vos marques !!! Double langage ! Deux poids deux mesures, telle est et restera la devise occidentale en matière de politique étrangère. Au moment où l'on fustige Kadhafi de tous les dépréciatifs, on approuve la répression au Bahreïn. Dans ce sens, le gouvernement britannique a reconnu avoir «entraîné des forces appartenant à la Garde nationale saoudienne qui sont entrées à Bahreïn pour réprimer les protestations populaires», a révélé samedi le quotidien britannique Guardian. A cela, s'ensuivra, évidemment, la violation des droits de l'homme et le transfert de certains prisonniers en Arabie Saoudite. Preuve à l'appui, ces témoignages de femmes médecins, libérées récemment des prisons du régime des Al-Khalifa. Celles-ci ont révélé les mauvais traitements et les tortures qu'elles ont subis dans les prisons bahreïnies. D'après l'une de ces médecins, qui a préféré garder l'anonymat, elle a été suspendue par les pieds, la tête en bas, et frappée violemment. Elle a ajouté que les agents la menaçaient de l'agresser sexuellement. Les forces bahreïnies accusent les médecins d'avoir soutenu les protestations appelant à des réformes politiques dans ce petit royaume du Golfe.