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Ceux qui s'en prennent à Khalida Toumi ou à Louisa Hanoune attaquent l'Algérie
Publié dans La Nouvelle République le 30 - 04 - 2013

Les attaques ciblant la ministre de la Culture, Madame Toumi, ne s'en prennent pas qu'à sa personne mais agressent à travers elle l'Etat et le gouvernement algérien. D'ailleurs, j'aurais aimé entendre un communiqué de la part du gouvernement ou encore des associations de femmes mais celles-ci se sont transformées en cuisinières spécialisées dans la confection des tajines. Madame Toumi a affirmé que les provocations dont elle est victime proviennent d'Egypte et de ses cheikhs du dollar, et dont le sponsor n'est autre que le Qatar assisté de son valet de cour, encore une fois, le royaume décadent du Maroc.
Si jadis, nos sœurs, nos mères, nos grand-mères, se sont illustrées dans le combat face à l'oppression coloniale, si elles ont résisté sans relâche comme Dehiya ou Lala Fatma n'Soumer, marquant l'Histoire de notre terre par leur courage et leur dévouement à la patrie qu'elles ont défendue avec vaillance, elles n'ont rien à envier à la gent masculine. Aujourd'hui, que ce soit Madame Toumi ou Madame Hanoune qui a été lynchée elle aussi parce qu'elle a énoncé des vérités concernant les émeutes du Sud et la manipulation des jeunes à travers les ONG Canvas ou Freedom House, qu'est-ce qu'on n'a pas entendu comme cris et coups de tonnerre venant de tous les horizons, alors que cette dame a dit à haute voix ce que tout le monde pense. Nous n'arrêterons jamais, à travers nos articles, d'attirer l'attention sur les agitateurs professionnels qui profitent de la désertification politique, de la faillite des partis politiques et du mouvement associatif, pour nous sortir du chapeau des lapins blancs et certainement pas des blanches colombes. Et voilà que le ministre de l'Intérieur tunisien Lotfi Ben Jeddou se fend d'une déclaration extravagante en parlant de notre prétendue «crainte» d'un soulèvement islamiste au sud de notre pays. Tiens donc ! Cela prouverait que ce que nous avons dit, avec Madame Hanoune, à propos des blogueurs algériens formés par Canvas en Tunisie sous la houllete de votre collègue ministre des Droits de l'homme du parti Ennahda comme vous, est avéré par vos propos imprudents, ce qui constitue une ingérence dans la souveraineté de l'Algérie. Je me rappelle que l'Algérie vous a offert 100 millions d'euros non remboursables pour vous aider à surmonter votre crise d'épilepsie printanière. Ne l'oubliez pas, car nous, nous n'oublions rien, et celui qui peut se permettre de faire de la surenchère sur l'Algérie n'est pas encore né. Gardez donc votre harissa du jasmin, Monsieur Ben Jeddou, car concernant votre «révolution fleurie», sachez que le jasmin ne pousse pas sur le fumier, et l'Algérie dépasse de très loin vos déboires et vos fantasmes de nain. N'oubliez pas non plus que lors de l'attaque du site gazier de Tiguentourine, 11 des terroristes étaient d'origine tunisienne, ce qui devrait inciter votre gouvernement islamiste à une certaine retenue, pour le dire poliment. Nous n'avons pas besoin de voisins incapables de contrôler un pays de la taille d'un mouchoir de poche et si vous le désirez, nous sommes prêts à vous enseigner ce qu'est une véritable révolution. Sachez que l'Algérie et son peuple ne craignent personne, et permettez-moi de vous rappeler que vos amis islamistes ont morflé chez nous ! Donc, les Egyptiens qui, rappelons-le, n'ont pas hésité lors de la première guerre du Golfe à envoyer 6 000 prostituées pour le repos du guerrier des GI's dans une base saoudienne, nous offrent par la voix de leur prédicateur du fric Khaled Abdallah Younès, une fatwa contre notre ministre de la Culture. Je ne connais pas le prix sur le marché ou la bourse du religieux de ce prédicateur de poche wahhabite, mais ce qui m'intéresse, c'est l'agenda de cette attaque dans les médias égyptiens, sur les réseaux sociaux comme «Fesse bouc», tous affiliés, comme par hasard, au Qatar et à son serviteur zélé, le Maroc. N'étant le lèche-botte de personne, contrairement à bien d'autres, j'affirme à ces derniers que je soutiens Madame Toumi, qu'elle soit ministre ou pas, et condamne l'acharnement contre des femmes qui ont un parcours politique proche de nous, en l'occurrence anti-islamiste, alors que notre presse s'est corrompue et que certains médias n'hésitent pas à faire la promotion de vulgaires terroristes assassins. Oui, Messieurs, nous fûmes et nous resterons éradicateurs ! Si cela ne tenait qu'à moi, j'éradiquerais la vermine wahhabite et sa perfidie jusque dans son propre fief. Le combat d'hier face au projet funeste de l'intégrisme islamiste continuera à travers la lutte que nous menons, hommes et femmes d'Algérie, qui nous ressourçons dans le soleil rayonnant des sourires de Djamila Bouhired, Boubacha ou Hassiba Ben Bouali. Donc Messieurs les muftis du dollar, épargnez votre salive et vos aboiements inféconds, l'Algérie est fière de ses hommes et de ses femmes debout ! Je suis très déçu par le fait que personne n'ait osé riposter à cette campagne de dénigrement contre ces femmes algériennes qui exercent des responsabilités politiques ou syndicales et qui sont agressées par la misogynie islamiste d'un pays livré aux Frères musulmans, ces éternels prostitués du sionisme avec leur cohorte de mercenaires religieux qui n'ont rien à voir, ni de loin ni de près, avec la religion musulmane. S'ils considérent que le wahhabisme est la seule légitimité de la religion musulmane, nous nous réclamons de l'islam de l'apogée, celui des premiers, l'islam qui a affranchi les esclaves et libéré la femme du joug des qoreichis, et non l'islam des 4x4 , du bizness et des buildings de Doha et Riyad. Qu'ils nous épargnent leurs leçons de mémoire trafiquée ! Quant à ce cancre de Abdelfatah Hamaddache, porte-parole de ses maîtres wahhabites et qui se réclame du salafisme, je lui dis, même si je ne prétends pas, comme eux tous, être un «savant» de l'Islam : «Chiche, fermez vos comptes en banque, abandonnez vos villas luxueuses et vos harems variés, votre oisiveté, votre économie de bazar qui ne produit que des begara et des nouveaux riches qui se gavent aux crevettes dans des hôtels cinq étoiles, engraissés par les pinguoins du Golfe et qui sucent le sang des peuples arabes. Venez, je suis prêt qu'on en revienne aux sources de la religion que vous avez souillée à travers l'Histoire. Vous avez trahi l'éhéritage de notre prophète Mohammed (QSSL) et de sa famille, et depuis «Saqifat Benî Saida» nous n'avons eu droit qu'à votre version erronée de l'histoire de l'islam ». Donc, trêve de pollution ! Basta ! Je comprends que personne n'ose défendre Madame Toumi, car la nation arabe est gangrenée par le wahhabisme et au lieu d'avoir un débat sérieux sur notre histoire, on n'a droit qu'à des mensonges à répétition des muftis mercenaires et criminels comme Al Qaradaoui et cie qui n'a pas hésité à épouser une gamine. Par contre, s'abreuver du sang du peuple syrien et avant lui du peuple algérien, ça c'est licite ! Je trouve le courage du côté de la femme plutôt que chez des prétendus «hommes» qui ne sont même pas dignes de torcher le cul de l'Histoire. Autre exemple de l'hypocrisie islamiste, on apprend qu'un criminel abreuvé jusqu'à l'ivresse du sang algérien vient de montrer sa religiosité à Doha, chez ses maîtres le gros Bouffi du Qatar et Moza la Banane. Voilà donc à quoi correspond un wahhabite : l'ancien président du FIS dissous, Abassi Madani, coule un exil doré avec sa famille à Doha, l'émir du Qatar le rémunérant à raison de 15 000 dollars par mois. D'après nos sources, il a organisé un mariage fastueux pour son fils Ahmed, fête digne des magnats du royaume qatari dans lequel il mène une vie de château. La cérémonie s'est déroulée à l'hôtel Grand Hyatt, le plus somptueux établissement de Doha, bien loin de l'austérité prêchée en Algérie par les imposteurs du commerce religieux. Près de 700 invités qataris et algériens étaient présents à la fête, y compris des journalistes «vendus de la plume». Les images étaient bien évidemment interdites, Abassi Madani ayant mis en place un service de sécurité draconien afin d'empêcher l'entrée des caméras, portables et appareils photo. Les libations et la bringue qui n'avaient rien de religieux ont, paraît-il, fait vibrer le ciel de Doha. Décidément, on est bien loin d'Allah et de son prophète Mohammed (QSSL) dans les contrées de l'infâmie du Qatar. Le fils aîné Oussama, qui est à la tête de Al Magharibia TV et vivant en Allemagne, était présent. L'assitance était étonnée de voir le «new look » d'Abassi Madani, l'un des principaux responsables, avec son compère Ali Belhadj, du drame qu'a vécu l'Algérie pendant la décennie du sang et qui continue à frapper notre pays meurtri par les coups portés par ces fanatiques sanguinaires. Abassi Madani a préféré la luxure et la débauche de la vie plutôt que les sirènes lointaines des mosquées de Kouba où il préchait le martyr et le djihad contre les mécréants. Qu'est-ce qu'on est loin de cette époque ! Il vit à présent avec ses filles dans une opulente villa à Doha et son gendre qatari joue dans l'équipe nationale de handball du Qatar. Abassi Madani s'est désintéressé de la politique et ses rares communiqués n'offrent plus aucun intérêt à la population algérienne qui s'est montrée indifférente à son dernier appel au boycott des législatives de mai dernier. Plutôt que de s'ingérer dans la politique algérienne, nous préférerions qu'il éclaire l'opinion publique quant au montant des chèques qu'il reçoit de ses souteneurs qataris et tant qu'on y est, de l'estimation des frais du mariage de son fils. Voici donc un modèle de la dévotion des intégristes islamistes et de leur imposture, s'agissant de la pureté de l'âme et de l'humilité, de la modestie... Où réside l'âme de l'islam dans les châteaux luxueux du Qatar ? Autre monarchie du déclin arabe, l'Arabie Saoudite a effacé toutes les traces de la présence du prophète Mohammed «QSSL), rasant sa maison, celle de sa famille, et enfouissant dans le marbre ce qui fit jadis la grandeur de la nation arabe. Messieurs, vos mains sales et ensanglantées ne pourront jamais atteindre le message immortel de l'islam, vous les descendants des Abou Soufiane et des Mouaouia, les marchands bédouins qui ont souillé le message de notre authentique religion par le wahhabisme infect au service des sionistes. La société arabe n'est pas mûre pour débattre, que ce soit de ses enjeux du passé comme ceux du futur et les Occidentaux n'ont eu aucune peine à s'introduire dans la brèche avec leur concept du «printemps arabe» que nous percevons, nous, comme un hiver islamiste meurtrier. Comment peut-on parler d'un «printemps» sans évoquer le moindre enjeu
ni débat sérieux au niveau des sociétés arabes ? Alors, pour nous, Madame Toumi ou Madame Hanoune, des femmes algériennes authentiques qui participent à un débat politique responsable, n'ont pas à subir les hurlements provenant des fausses-couches islamistes et de leur géniteur, le sionisme. Quant au roitelet du Maroc qui affame son peuple, malgré tous ses efforts, il ne pourra jamais arrêter la roue de l'Histoire. Donc, aux pingouins du Qatar et de l'Arabie Saoudite, au roitelet de poche du Maroc, aux prostitués égyptiens reconvertis à l'islamisme-bizness de Morsi le Californien, à leurs oulémas du pognon, aux charlatans qui ont peine à remplir une salle de bains, eux qui avaient rempli des stades, nous vous disons : «pas touche à la femme algérienne». Allez prêcher votre médiocrité et votre obscurantisme dans les latrines des hôtels somptueux que vous avez appris à apprécier. Nous, éradicateurs, assumons l'arrêt du processus électoral grâce à la mobilisation de la société et au courage de notre commandement militaire avec à sa tête le ministre de la Défense le général-major Khaled Nezzar, et tant d'autres braves et courageux responsables militaires et civils qui ont pris le taureau par les cornes en faisant face au projet islamiste d'enterrer l'Algérie, au moment où certains responsables civils échouaient en pactisant avec l'ennemi islamiste ou en prenant la poudre d'escampette comme certains chefs de l'opposition caviar. Si nous avons défendu l'Algérie, c'est pour que des femmes comme Khalida Toumi et Louisa Hanoune puissent exister et pour que la femme algérienne quelle que soit sa place dans la société, participe à la construction du pays, au même titre que les hommes. Le sacrifice des martyrs de la révolution porte aujourd'hui le nom de Khalida Toumi, Louisa Hanoune, et celui de toutes les femmes, qu'elles soient policières, journalistes, soldats, fonctionnaires, médecins, ingénieurs, professeurs, et femmes au foyer ! N'oubliez jamais le sang des femmes victimes du terrorisme barbare que vous, les imposteurs, avez importé de chez les pingouins émirs du Golfe. A titre d'exemple, je vous informe, cancres que vous êtes, que l'Algérie avait une femme pilote de chasse au moment où l'ancien colonisateur français n'en comptait pas une seule. La disqualification systématique du projet islamiste dans la société algérienne est irrévocable et la page est définitivement tournée mais nous ne sommes pas amnésiques et si vous voulez évoquer votre passé meutrier, nous sommes disposés à exhiber votre histoire remplie de traîtrise et de mensonges. Vous et vos maîtres bédouins qui ont souillé notre histoire alors que sans le message éternel de l'islam authentique, ils continueraient à errer comme des ombres dans le désert, hurlant comme des chameaux perdus sans culture ni civilisation. L'islam vous a humanisés alors que vous viviez comme des bêtes, avec vos pratiques païennes d'enfouir les bébés féminins dans le sable, mais vous voilà débarrassés de ce message et vous êtes revenus à la trahison de jadis. Notre combat face à vous est celui les lumières de la raison contre l'ignorance décadante. L'Algérie restera un rempart contre toutes les tentatives obscurantistes qui veulent atteindre notre message révolutionnaire et n'a de leçons à recevoir de personne. Si vous voulez initier un championnat du monde d'ablutions sur fond de votre supercherie religieuse pratiquée par vos trafiquants de la foi, allez-y, au moment où l'Iran fait une percée scientifique alors qu'elle est sous embargo grâce à votre trahison, qu'elle envoie des satellites dans l'espace et construit des sous-marins, vous baignez dans l'économie de bazar et de l'import-import. Vous êtes les véritables égoûts de l'Occident. Moralité, la campagne abjecte de dénigrement contre Madame Toumi est menée par des charlatans du Caire et des apprentis soricers de connivence avec le «makhnez» marocain, issus du complot sioniste visant à mettre au pas la société arabe et occulter tous les débats sociétaux privant la sphère arabe du progrès, la plongeant dans une régression abyssale. ...Une société sans femme est une société infâme... Mohamed Boudiaf


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