Dans un discours en 2010 au CFR (Trichet Calls For Corrupt BIS To Boss Global Government In CFR Speech, Paul Joseph Watson, Thursday, April 29, 2010), l'ancien président de la BCE Jean-Claude Trichet avait dit clairement que le Global Econonomy Meeting (GEM), qui se rencontre au QG des banques centrales, à la BIS de Bâle en Suisse, deviendrait «e groupe principal pour la gouvernance mondiale au sein des banques centrales». Trichet ajouta que les réunions de la BIS assuraient que «le système bouge de manière décisive vers une véritable gouvernance mondiale». Puis il définit comment cette gouvernance mondiale opérerait. «Il y a plusieurs définitions possibles de gouvernance mondiale. Dans la sphère de la finance et de l'économie, je proposerais que la gouvernance mondiale réunisse non seulement une constellation d'institutions supra-nationales, incluant les institutions financières internationales, mais aussi le regroupement informel des groupes qui ont progressivement émergé au niveau global. Ces forums informels tels le G7, G10, G20, etc. sont très importants pour améliorer la coordination mondiale dans tous les domaines où les processus de décision demeurent nationaux, soit en aidant à faire émerger des standards et codes de gestion ou pour faciliter la coordination des macro-politiques économiques». Beaucoup d'autres membres de l'establishment politique ont ouvertement exprimé l'agenda de créer un gouvernement mondial et ce, pas seulement en réponse à la crise financière mais aussi comme solution au réchauffement climatique anthropique. Quelle foutaise ! En 2009, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon a admis que la taxe carbone qui sera prélevée au nom de la résolution du réchauffement climatique devra être collectée par un corps mondial. «Nous établirons une structure de gouvernance mondiale pour surveiller et gérer la réalisation de ceci», avait-il déclaré. Dans un éditorial du New York Times intitulé: «Nous pouvons le faire», Ban Ki-moon écrivait également que les efforts pour imposer des restrictions sur les émissions de CO2 «doivent inclure une structure de gouvernance mondiale juste et équitable». Un autre mondialiste et environnementaliste David De Mayer Rothschild avait aussi révélé l'agenda pour une gouvernance mondiale dans une interview avec la chaîne Bloomberg News. «Ceci est au-delà du discours. Nous savons historiquement que ce type d'agenda de gouvernance mondiale et sujets affiliés est très difficile à... avec toutes les meilleures intentions, c'est en fait très difficile à activer», avait noté Rothschild. (Rothschild Rues Difficulty Of Activating «Global Governance Agenda» At Copenhagen, par Steve Watson, Wednesday, Dec 16, 2009). (à suivre)