L'Etat algérien pointé du doigt dans la prise d'otages d'In Amenas ! Profitant de l'anniversaire de l'attaque terroriste d'In Amenas, certaines voix s'acharnent une nouvelle fois sur l'Algérie et tentent d'endosser la responsabilité à l'Algérie dans le décès de quelques otages. Pour ces «brebis galeuses», l'intervention des éléments des forces de sécurité qui ont réussi à sauver 792 otages dont 107 étrangers et le décès de 23 personnes était un échec. La haine envers l'Algérie n'en finit pas et cela n'est pas du tout une surprise. Malgré les différentes «gifles» reçues dans le passé, les tenants du «qui tue qui» ne baissent pas les bras et continuent toujours de tenter d'induire en erreur l'opinion publique avec le seul objectif de nuire à l'Algérie. Ces énergumènes ne sont pas à leur premier essai, ils ont tenté de faire de même à plusieurs reprises mais furent à chaque fois désavoués. Dans les années 1990 et au moment où le peuple Algérien se faisait égorger par les sanguinaires islamistes, ces mêmes voix ont tenté d'incriminer les forces armées dans les assassinats et les attentats terroristes perpétrés contre des innocents. Même les assassinats et les actes terroristes commis à l'encontre des militaires et des forces de police ont été exploités par ces lobbies qui n'ont pas hésité de créer la fameuse phrase du «qui tue qui». La gifle a été trop violente lorsqu'un hebdomadaire français a publié des aveux de terroristes repentis, qui ont revendiqué l'assassinat des malheureux moines par leurs acolytes islamistes. Malgré cette «gifle», le dossier de l'assassinat des moines n'est pas entièrement fermé et à chaque fois les mêmes voix s'élèvent pour réclamer l'ouverture d'autres enquêtes pour déterminer les circonstances de leur mort. Après le «qui tue qui» et l'affaire des moines, ces mêmes voix s'invitent dans l'attentat d'In Amenas et tentent une nouvelle fois d'incriminer l'Etat algérien dans le décès de 23 personnes. L'intervention des forces de sécurité algériennes n'a pas été du goût de ces donneurs de leçon qui trouvent que l'opération de la libération des otages s'est soldée par un échec. Pourtant, l'Algérie a reçu les félicitations de plusieurs pays dont les puissances du monde, saluant le courage et l'intervention héroïque des forces de sécurité dans la libération de plus de 800 otages. Que ces brebis galeuses sachent que l'opération menée avec brio par les éléments de forces armées algériennes s'est déroulée dans un site gazier et non pas dans le désert ou dans un simple immeuble de la ville. Ces énergumènes ne savaient certainement pas également que les forces spéciales de l'armée algérienne ont affronté des kamikazes lourdement armés et que leur but et de réussir ou mourir en «martyr» comme ils le prétendaient. Lorsque nous avons des kamikazes menaçant de faire exploser le site s'ils ne sont pas autorisés à quitter le site avec les otages, quelles négociations pourrait-on tenir avec ces criminels ? En proposant d'ouvrir des négociations, les sanguinaires voulaient uniquement profiter du temps pour terminer leur sale méfait, à savoir, placer les explosifs autour du site afin de l'exploser dans le cas où ils seraient empêché de quitter l'Algérie avec les otages. La rapidité par laquelle les forces de sécurité sont intervenues a surpris les criminels qui ne s'attendaient guère à ce scénario. La perte de 23 otages est certes déplorable, mais l'opération a été une réussite totale du moment que plus de 800 personnes ont été sauvées. En somme, les forces de sécurité algériennes ont réussi ce que d'autres services ne pourraient le faire. Quant à ces «brebis galeuses», la meilleure réponse ne pourrait être que la suivante : quand la caravane passe...