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La population interpelle le wali
Publié dans La Nouvelle République le 20 - 12 - 2015

Des dizaines de propriétaires dans la zone d'activité de la commune de Bordj-Menaiel se sont réunis pour protester et dénoncer un comportement néfaste et incompréhensible. «Nous nous sommes tous acquitté du payement de la première tranche puis de la seconde auprès de l'EGZIB puis en dernier, puis nous avons tous récupéré nos actes de propriétés, dernière étape de la convention», a déclaré un bénéficiaire.
«Où était l'EGZIB dans les années noires, qu'a- t- elle fait lors du séisme du 21 mai 2003 où la plupart des constructions réalisées ont été endommagées ? Rien si ce n'est le silence complet depuis 1994 et dont le siège était inconnu et dire que celle-ci était une entreprise publique locale agissant sous le numéro d'un régistre du commerce numéro 86 datée du 10 septembre 1988 article 669.» «Nous sommes dans le flou, affirme un autre protestataire, qui avance avoir payé la totalité de son terrain suivant la convention établie le 9 septembre 1989 avec possession d'un acte de propriété définitif, j'ai jeté toutes mes économies dans la construction sans l'aide de personne. Malheureusement, le tremblement de terre a endommagé les constructions, mais que voulez-vous, c'est dame nature qui a voulu cela ! Malheureusement, en 2004, une SPA/Gestibo a été créée avec régistre du commerce numéro 0 2724244BO4 qui nous harcèle de factures de paiement de gestion des participations avec des montants exorbitants à régler trimestriellement. Sommes-nous propriétaires ou locataires et dire que je paye les impôts, le foncier, l'eau, l'électricité et autres. Plusieurs petites activités dans la localité de Bordj-Menaiel connaissent beaucoup de contraintes qui entravent la bonne marche de leurs projets :un constat amer et douloureux à l'égard des propriétaires de parcelles de terrain acquises dans les années 1989 par l'EGZIB (Entreprise actuellement dissoute), et tous en possession d'actes de propriété notariés et enregistrés au cadastre algérien. Malgré cela, ils lancent un cri de détresse aux juridictions compétentes et les hautes autorités concernées en leur qualité de garants de la justice pour mettre fin à une situation qui perdure depuis la création de la Gestibo, un organisme disposant d'un registre du commerce au capital de 30.000.000.00 DA , d'une matricule fiscale sous la forme de société de gestion des participations, société par action : la question qui se pose auprès des propriétaires de parcelles de terrain est : l'EGZIB était un établissement public qui fut représenté par Kaddour Brahimi, qui agissait en qualité de directeur général et d'interlocuteur direct concernant la vente qui ne deviendra définitive que lorsqu'elle sera concrétisée par acte authentique dressé auprès du notaire instrumentaire, aux conditions ordinaires et de droit en pareille matière, suivant règlement du foncier. Aujourd'hui, l'EGZIB a été dissoute depuis plusieurs années et ses responsables ont été pointés du doigt par la plupart des investisseurs qui se sentent victimes de la bureaucratie de l'administration, de l'abandon de cet organisme qui n'a, en aucun cas, respecté les clauses de la convention. Aussi, ils se sentent désemparés, outrés, et lâchés par cet organisme qui n'a pas doté les lieux en commodités nécessaires (énergie électrique, gaz de ville, eau...) et où chacun d'eux s'est aventuré pour trouver une solution à lses problèmes en forant des puits à l'intérieur des ilots et engageant des crédits bancaires pour effectuer les branchements en énergie électrique. L'EGZIB était aux abonnés absents depuis plusieurs années et injoignables par les acquéreurs de terrain qui se sont sentis victimes depuis plusieurs années par la transgression des lois et règlements régissant leurs activités. Certains bénéficiaires sont sujets à des poursuites judiciaires de la part de la Gestibo qui les somme de régulariser leurs situations depuis 2004. Nul n'est au-dessus des lois, qu'ils opposent ou divisent des peuples, des entreprises, des groupes sociaux de quelque nature que ce soit, les conflits naissent presque toujours de l'incompréhension, de la méfiance, de l'incapacité de se mettre à la place des autres, du non-respect des lois. Depuis quand un propriétaire de parcelle de terrain disposant d'un acte de propriété notarié et dûment enregistré au cadastre est-il obligé de payer une quote-part ? A quoi sert cet argent ? Où va-t-il ? Pourquoi payer doublement l'impôt ? A ne rien comprendre, mais pour le moment, les bénéficiaires de lots de terrain dans le but de créer de l'emploi montent au créneau et ne comptent pas s'arrêter pour défendre leurs droits.

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