Nommé dans le cadre d'un vaste mouvement des walis, initié par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le nouveau premier magistrat de Boumerdès, Madani Fouatih Abderahmane, a déclaré devant tout un parterre de journalistes et correspondants qu'il est un responsable rodé et errodé et que sa principale conviction est d'être un personnage pragmatique et non populiste en matière de gestion des affaires publiques. Cependant, nous avons découvert en lui un wali, très communicateur, très à l'écoute avec l'ensemble des journalistes qu'il considère comme un partenaire dont le rôle est décisif pour le développement local tout en ajoutant que les pouvoirs publics et les gens de la presse doivent s'entraider pour le bien des citoyens. La base de départ du developpement durable que nous escomptons aujourd'hui pour surmonter leseffets de la résurgence de la crise énergétique, un défi économique à relever, qui s'ajoute aux efforts louables déployés par nos forces combinéees de sécurité pour défendre la patrie, a-t-il conclu. Madani Fouatih Abderahmane n'est pas né de la derniére pluie puisque son parcours dans les rouages de la haute sphére de l'administration algérienne a débuté dans les années 1980 avec l'ENA où il fut major de promotion. C'est un homme de terrain dont le nom est intimement lié à cette institution de l'Etat. C'est quelqu'un de particulier doté d'une forte personnalité et d'une grande intelligence et son sens de l'équité est très apprécié, d'ailleurs c'est cet état d'esprit qui ont fait de lui d'être nommé par décret présidentiel wali de Boumerdès, un responsable égal à lui-même veillant jalousement sur l'institution de l'Etat, tout en ajoutant que Madani Fouatih Abderahmane a déjà occupé cette fonction dans la wilaya d'Adrar, puis celle de Mila sans oublier qu'il dispose d'un curriculum vitae (CV) très important puisqu'il fut maintes fois secrétaire général, directeur d'exécutif pendant plusieurs années. Le Premier magistrat de la wilaya de Boumerdès donne l'image d'un personnage qui domine fort son secteur et qui est très bien écouté. Cette responsabilité pour lui n'est pas un titre honorifique mais un engagement solennel de sa part à l'égard des chouhadas algériens qui ont versé un lourd tribut du sang pour libérer le pays et permettre à chacun de nous aujourd'hui de vivre dans un pays libre et indépendant. Et il est du devoir des Algériens maintenant de consentir le tribut de la sueur en vue de l'édificationb de notre patrie. Ce tribut de la sueur, des milliers de nos vaillants militaires, de nos policiers, de nos gendarmes, de la douanes le versent quotidiennement à nos frontiéres pour assurer la sécurité des biens, des personnes et de notre territoire dans le grand Sud dans les frontières malienne, tunisienne, nigérienne, mauritanniene, marocaine sous un soleil de plomb et aride. Certes, l'Algérie dispose actuellement d'une armée moderne et forte de ses équipements et de son savoir-faire mais aussi forte de ses équipements et de son savoir-faire, mais aussi forte par la stabilité remarquable de son encadrement et des moyens humains. «Lorsque j'étais wali dans le Grand Sud, dans la wilaya d'Adrar, une wilaya de la dimension d'un continent, j'ai vu des militaires qui restaient des mois sans pouvoir joindre leurs familles par téléphone portable par manque de champ et de connexion. En somme, les pouvoirs publics et les gens de la presse doivent s'entraider pour le bien des citoyens et de l'Algérie, le wali de Boumerdès a ajouté qu'il compte d'ores et déjà tracer une feuille de route avec ladite corporation qu'il considère comme un partenaire important dont le rôle est décisif pour le développement local de la wilaya et des trente deux communes. Tout en ajoutant qu'il aime lire la presse tous organes confondus que ce soit en arabe ou en français, tout en assurant les journalistes et les correspondants de presse qu'ils ne seront aucunement poursuivis pour leurs articles, en veillant à bannir toute rétention de l'information. Le nouveau chef de l'exécutif de la wilaya de Boumerdès rappelle aux rédacteurs loacaux de la presse la nécesité de faire preuve d'objectivité, d'éviter l'exagération et l'incitation au désordre. Les journalistes sont les yeux et les oreilles des citoyens. Ils doivent dénoncer tout ce qui ne va pas dans les communes, dans les villages , dans la wilaya et cela à divers secteurs que ce soit la santé, le sport, l'habitat, l'urbanisme, la bureaucratie, le commerce, la poste et télécommunication, l'agriculture, l'industrie ainsi que divers secteurs étatiques dépendant de l'exécutif. Madani Fouatih Abderahmane ne mache pas ses mots en disant qu'il se considère comme un chef d'orchestre qui est venu ramener un grand plus pour cette charmante wilaya touristique, accueillante et charmante par toutes ses richesses. Boumerdès possède beaucoup d'atouts par son pôle touristique par excellence car elle recèle des potentialités touristiques des plus attractives, vu son emplacement stratégique au versant nord de la wilaya. Elle a une double vocation, à savoir maritime et montagnarde. C'est cette double vocation qui fait d'elle une citadelle paradisiaque, qui lui confère un statut de plaque tournante touristique attractive dans la wilaya. Le Premier magistrat de la wilaya de Boumerdès a mis l'accent que des efforts seront consentis en vue de rapprocher les citoyens de l'administration et d'instaurer un climat de confiance digne du slogan affiché sur les frontons de nos institutions étatiques «par le peuple et pour le peuple», tout en affirmant qu'il possède une main de fer dans un gant de velours, et que durant tout son cursus scolaire, que ce soit de l'école primaire, du collège, du lycée, de son obtention au baccalauréat, de son cursus universitaire. Il avait toujours l'ambition d'aller plus loin. Il est à l'écoute de tout un chacun et que les portes de la wilaya seront toujours ouvertes, je suis nouveau certes mais vous allez constater que beaucoup de changements vont venir, je vous le promets car il n'y a que le travail qui paie !