La «révolution pourpre» de Soros, qui avait commencé en douceur le 9 novembre, a atteint quelques jours plus tard un niveau inattendu. «Elle est coordonnée par les organisations Moveon.org et Black Lives Matter que finance Soros. Elle touche New York, Los Angeles, Chicago, Oakland, Nashville, Cleveland, Washington, Austin, Seattle, Philadelphia, Richmond, St-Paul, Kansas City, Omaha, San Francisco et quelque 200 autres villes à travers les Etats-Unis... » Les agitateurs payés ont entraîné avec eux toute une foule de gauchistes bobos déçus par la défaite de Clinton. En fait, beaucoup d'entre eux étaient des partisans de Bernie Sanders, dont la nomination a été volée par Clinton lors des primaires démocrates ; ils tiennent Trump pour responsable de leur frustration. En Californie, on trouve aussi parmi ces gens des illégaux mexicains qui considèrent que la violation systématique des lois sur l'immigration est « un droit ». A tout cela, il faut ajouter les habituels casseurs et voyous et, comme en Europe, la racaille fasciste «antifa» dont les seules «valeurs de gauche» sont la promotion de la pédérastie et la «lutte» contre le «réchauffement» que Trump dénonce à juste titre comme une supercherie. Pour les grands medias (CNN en tête), il y a lieu à s'attendre à des tsunamis de haine et de mensonges. Jusqu'à présent, on pouvait se fier à la fameuse blague sud-américaine qui demande pourquoi les Etats-Unis n'ont jamais connu de putsch au cours de leur histoire, et qui explique que c'est dû à l'absence d'une ambassade américaine sur le territoire des USA. Désormais, avec Soros, cette boutade risque de perdre son sens. Dans son article, Wayne Madsen écrit également : « Dans un de ses messages électoraux diffusé juste avant l'élection, Trump a souligné que George Soros, Janet Yellen (présidente de la Fed) et Lloyd Blankfein (PDG de Goldman Sachs) font tous les trois partie d'une «structure globale de pouvoir qui est responsable des décisions économiques qui ont détroussé la classe laborieuse, volé les richesses de notre pays et mis tout cet argent dans les poches d'une poignée de grandes entreprises et entités politiques». Soros et ses créatures ont immédiatement attaqué et ridiculisé ce message, l'accusant d'être «antisémite». Le Président Trump devrait se méfier de ces gens et de leurs semblables. Le fils de George Soros, Alexander Soros, a appelé la fille de Trump, Ivanka, et son mari Jared Kushner, à désavouer publiquement Donald Trump. La tactique de Soros ne consiste pas seulement à diviser les nations, elle divise aussi les familles. Trump doit rester sur ses gardes face aux machinations présentes et futures de George Soros, y compris sa «révolution pourpre»... Pour rappel, Soros, Yellen, Blankfein et Kushner sont juifs et sionistes. Et quand on sait que le nouveau Président est totalement soumis au lobby innommable, le pire est à craindre...