On n'arrive toujours pas à faire dissiper ce nuage de doute qui étouffe notre football. L'élection de zetchi, semble faire ronger les ongles à beaucoup de personnes. Tout est en train de se faire pour faire avorter cette élection. Reste la manière qui ferait actuellement l'objet d'analyses. Comment faire revenir à la salle de conférences ceux qui ont voté «Zetchi» ? Ceux qui travaillent dans ce cadre savent que le temps presse et que notre football recule à pas de géants. On est loin du souci de faire avancer les dés. Bizarre, bizarre que cette situation tarde à disparaître de nos styles de vie professionnelle. Bizarre, que ce comportement résiste à toutes les consciences. Voilà une mauvaise histoire qui va entacher les annales de notre football. Aujourd'hui, on s'interroge avec force de savoir pourquoi ce silence assourdissant de la nouvelle équipe de la FAF, pourquoi la Confédération africaine (CAF) et encore moins la Fédération internationale (FIFA) n'ont toujours pas annoncé sur leurs sites respectifs l'élection de Zetchi à la tête de l'instance algérienne, pourquoi ?... Faudra-t-il se mettre sous le logo de la FAF et attendre une éventuelle réaction de cette nouvelle instance qui mettra fin à ces mauvaises hypothèses ? Du haut de ces clubs, on entend des gestionnaires parler de l'attente du PV de l'assemblée générale élective établi par le bureau fédéral (BF), qui tarde à venir, c'est ce PV qui mettra fin aux spéculations et l'autre son de cloche est encore plus frappant, rien ne canalise l'information en l'occurrence vers une élection qui serait entachée d'irrégularités et donc est contestée. Tout le monde sait, par contre qu'il y a ceux qui veulent ce blocage, la récente réaction de la FIFA qui exige dans une correspondance signée par la secrétaire générale de cette instance internationale, à savoir la Sénégalaise Fatma Samba Diouf Samoura un document qui éclairerait qui a porté Zetchi au poste de président de la FAF. Voilà qu'un autre feuilleton s'ouvre au bonheur des contestataires lesquels dans leurs discours font rappeler ce qui s'est passé au Mali où la Fédération malienne de football a été suspendue par la FIFA pour ingérence politique. «Chez nous, certains pensent que sur le fond, la victoire du candidat Zetchi ne souffre d'aucune contestation avec 65 votes favorables lors d'un vote à bulletin secret. Par contre, c'est dans la forme avec le déroulement des élections et l'absence du président de la commission électorale, Ali Baâmeur, que réside le problème.» Faudrait revenir sur ceux qui montrent du doigt le ministère de la Jeunesse et des Sports, qui aurait mis toute sa pression sur la commission électorale pour que le résultat annoncé soit celui du ministre. Or, à chaque occasion M. El Hadi Ould Ali précise avec force qu'«on n'a exercé aucune pression sur la commission électorale de la FAF. On a juste fait un recours pour exiger le respect des dates fixées par le bureau fédéral et approuvées par l'assemblée générale»... Pour d'autres enfin, cette procédure de la FIFA de demander des explications, est tout à fait normale pour savoir et surtout comprendre ce qui se passe dans les fédérations qui lui sont affiliées dont évidemment la FAF fait partie.» En attendant, on continu à s'entraîner sur des terrains qui deviennent de plus en plus compliqués, où la communication est chassée, alors que les échancres arrivent la situation reste bloquée. Le football attend, quant à lui, des éléments clairs qui mettraient fin à toutes ces spéculations. Notre football donne l'impression de tourner à vide. Pourquoi continuer à jouer puisque tout est encore au jaune.