Si le football était héréditaire, le meilleur exemple reviendrait à la ville de Bordj-Ménaïel, car pratiquer le football, celui que l'on surnomme le sport roi était une affaire de famille et personne ne pourra nous contredire. Parmi ces inconditionnels, il y avait tout d'abord les frères Benabi ( Rabah plus connu par Boubah et djemaâ), les Hamadaches (Kader, Mouhouche, Said et Hamid), les Tonkin (Hocine, Mohamed, Youcef, Abdelkrim et Redouane), les Amrous (Ali, Amar, Ahmed, Omar, Hocine, sadek et le regretté Tayeb, les Sahri (Louanes, Rabah et hamid) les Ferhat ( Malik, Wahab, el hadi et Azzedine ( les Takdjerad ( Rabah, Salah, et Boualem), les Zemoul (Sadek, Abderezak), les Kesraoui (Mohamed, ali, Omar et Nonor), les Touzouirt (Boualem, Yassine), les Amazouz (Youssef, djamel et Saadi) les Boumzar (Azzedine, Dahmane, Morad et Farid), les Boussa (Amar Navarro, Hamid et Salim) les Guessoum (Said et Ali), les Safri (Amar, Abdenour et Dahmane), les Taourirt (Salim, Nabil, Sofiane et amine), les Bessami (le regretté Kaci et Dahmane), les Izem (Bouchebgha louanés, Abdellah, et Mohamed), les Kourougli (Ali et Toufik) les Hattab (Boualem, Toufik, Mohamed et Sid ali), les Mansouri (Abdelmadjid, Mohamed et nasser) les Kouache( Mohamed et Hamid, les Achouri, (Mouloud et Ali), les Achour (Rezki et Boualem) les Ouriachi( Mokrane, Said, Brahim, Youcef et Said), les Madéne (Slimane, Hacéne, Merzak, louanés et Mohamed), les Agraniou (Mohsegir, Mohamed, Missoum, Nordine et Achour), les Chaouchi ( Rachid et Fawzi), les Hamadou (Louanés Yacine, Mohamed, Toufik, Lyés et Fouad, les Rachid (Toufik et Aziouez) les Smallah (Yahia, Ali, Mourad, Hakim et Rezki) les Boukhelif (Rachid et Djamel), les Djouab (Said, Kouider, Amar, Rachid, Salah, Brahim, Ouahid et Abdellah) les Saidi (Ali, Dahmane et Nonor) les Benchiha (Mohamed, Karim et Boualem), les Hadjeres (Kamel, Boualem, Rachid, Malik et Kamel) les Sid rouhou (Amar et Hacéne), les Bournissa (Omar et Nasser), les Ait cheikh (Rachid, Tayeb et Sadek), les Tafat bouzid (Said et Youcef). Les Bouchanane (Amar). Force est de reconnaitre que le mérite revient donc à tous ceux qui de prés ou de lion ont contribué à la survie du club, à ces jeunes joueurs talentueux qui aimaient le football et qui ont constitué son templin en provoquant le déclic salutaire pour faire sortir l'équipe du néant vers les cimes de l'élite nationale à l'image des Ghoumrassi Youcef, Kouache hamid, Triki Ahcéne, les Feid Hamitouche, les Kendel, et dans tout cela, il y avait Ramdani Brahim, le cheikh des moudaribines, l'homme aux qualités morales irréprochables et professionnelles avérées, ses connaissances des affaires du football ménaili l'ont hissé au sommet de la gloire tout d'abord comme joueur puis comme entraÎneur, une amitié excepionnelle liait l'homme à son club de toujours, Ramdani Brahim répondait à chaque fois présent à l'appel du cœur d'abord et du devoir vis-à-vis de sa ville natale, lui qui avait réussi en 1974 à élimner le grand CRB en Coupe d'Algérie. Il a été dans toutes les consécrations du club des Coquelicots, il en constitue un pan de son histoire. La JSBM est la propriéte de toute la population de Bordj-Ménaïel. A tous les hommes dévoués qui ont consacré leur temps et leur argent pour le bien du football ménaïli, à l'image des regréttés Baouche Rabah, Dahak belkacem, Djouab Said, Boumzar Brahim plus connu par Alex, à Azzoune Youcef, à Omar Benchiha, surtyout les anciens Kheddam elaid, Lili, Keddache Said, Danilo Said, Bendia louanés, Said et Rabie, les Merahi Ahmed et fils. La JSBM est un club de football qui a toujours forcé le respect car avec des moyens dérisoires. Cette équipe s'est fait une place au soleil devenant dans les années 1980 un véritable ténor. Alors qui sont-ils ces pseudos-dirigeants qui se croient tout permis pour éliminer les amoureux du club ? L'histoire ne pardonnera jamais, car la JSBM est comme un oued, si on veut le détourner, un jour, il reprendra son véritable cours d'eau…