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«La wilaya mérite mieux !»
Publié dans La Nouvelle République le 06 - 05 - 2019

Manque t-on de cadres dans la wilaya de Mascara pour ramener des intimes de garants qui régente une sorte de «No Man's Land» béante a tous les excès et les abus les plus despotiques ?
L'ère du clientélisme et du népotisme sont légions, via des alliances disproportionnés servies sur un plateau d'argent a des tierces personnes au détriment des jeunes cadres originaires de la wilaya, nous ramène incontestablement a donner raison aux ‘jeunes cadres' universitaires sans travail ni avenir fixe qui foulent le sol de la wilaya chaque vendredi, et ce, pour dénoncer ces énièmes abus qui se suivent et se renouvèlent a chaque mouvement des walis. C'est le sens de l'état…par son absence en ces temps d'incertitudes sociales, économiques et politique dont se parlemente le pays, et c'est un résultat sans appel. Un résultat qui traduit avant tout le phénomène d'inacceptation qu'inspirent nos vieux gouvernants en Algérie vis-à-vis des jeunes diplômés et universitaires. Force est de constater, que ces diplômés préfèrent partir sous d'autres cieux plus cléments. Dans ce contexte déplorable, des informations qui circulent au niveau du chef lieu font état de plusieurs choix octroyés a des personnes bien distincts a des postes au sein de la wilaya très chichement rémunérés et dont les salaires sont arrosés par deux ou trois entreprises de wilaya , le tout enveloppé dans une sorte de cumul de fonction pour ‘certain' heureux postulants attirés hors wilaya. En vain... Les additions ET soustraction sont légions pour enrégimenter les plus bienveillants. Un secret de polichinelle depuis quelques temps dans la wilaya de Mascara. Pour ne pas rentrer dans les détails qui fâchent, dans la wilaya de Mascara, c'est un début de Ramadhan 2019 pas comme les autres. Du jamais vu, ou la démobilisation des autorités locales et autres élus budgétivores imposés a la population de la cite de l'émir, sont restés de marbre, introuvable comme a chaque mois sacré de Ramadhan 2019 via des décharges sauvages, odeurs nauséabondes, saletés et autres rats d'égouts qui arquent les rues des la nuit tombée. Pourtant la wilaya de Mascara a vu, parait-il, l'installation en ‘catimini', du nouveau directeur de l'entreprise publique de wilaya 'PROPEC' spécialisée dans la collecte des ordures ménagères, dont le salaire mensuelle dépasse 'largement les 100.000.00 dinars algériens', mensuellement, alors que cette dernière connait des difficultés financières très sévère. La société PROPEC assure le nettoyage de la ville et le ramassage des ordures suite à un contrat passé avec Le ministère de l'intérieur et dont le wali, est le président du conseil d'administration (PCA). La question qui se pose dès lors est de savoir si le fait de confier le service public de collecte des déchets (le déchet lui-même étant un bien public) PROPEC peut le rendre efficace. Alors que la théorie nous enseigne que la délégation d'un service public par le mandant à une entreprise concessionnaire ou le mandataire est très souvent sujette à des problèmes tels que le dysfonctionnement et l'aléa moral, il y'a lieu de s'interroger quant à l'efficacité productive de cette société livrée aux quatre vents. Dans ce chapitre, il sera question de présenter et de définir la pluralité des concepts relatifs à la gestion des déchets d'une part et d'autre part passé en revue les généralités sur les déchets ménagers. Ce qui n'encourage nullement, avec un parc automobile dégradé via des mains expertes, qui ne sont pas étrangère a cette entreprise, énormément saboté ce matériels chèrement acquis. Des trous incommensurables ont été constatés dans le chapitre de la comptabilité de cette entreprise et dont les agents de nettoiement y compris l'encadrement connaissent des misères pour être payer, avec des retards de deux a trois mois ,a l'exemple de ce qu'on a observé comme protestation répétitif de cette frange de la société devant la maison de la presse y compris devant le si de la wilaya, au sujet des salaires non acquittés. Le chef lieu de la wilaya, à l'exemple des autres Dairates connaissent des hauts à l'approche du mois de ramadhan, ou les immondices se sont grevées en force a travers les divers marchés et autres artères de la ville. L'évacuation des déchets solides, débouchages des caniveaux et l'assainissement pluvial ou les ressources mises a la disposition de la collectivité, communément appelée : ‘APC', sont limitées vu le nombre insignifiants des camions a benne pour l'enlèvement des ordures ménagères. Le manque de moyen longtemps avancé comme justification ne saurait éternellement constituer la raison de semblable conjoncture qui perdure de pis en pis. Les accusations entre la wilaya et les assemblées communales sont devenues mutuelles La ville est sale. Au lieu dit ‘Trig El Oued', ou du moins ce qui en reste ou l'entretien a l'heure ou nous mettons sous presse, c'est-à-dire, presque deux semaines ,avant le début du mois de ramadhan, l'entretien du marché improvisé pose problème, et ceux qui le côtoient au quotidien se retrouvent sur un panorama envahi par des tas d'ordures et d'odeurs nauséabondes des plus exécrables. Les ordures franchissent le seuil des bacs a ordures non entretenus, pourrissent, exhalent et charrient la prolifération de rats, cafards et autres bestioles nuisibles rampantes. Un véritable décor lunaire, ou curieusement, les vendeurs a la sauvette de tout acabit se sont imposés par la force des bras, autour de ce marché, véritable coupe gorge, ne semblent favoriser aucun effort pour rendre le site accaparé propre. Nonobstant ces faits, il est important de souligner, qu'au niveau du chef lieu de la wilaya qu'il y a environ quatre marchés de ‘proximité' fermées, et ce, depuis plusieurs années. Celui du marché communément appelé ‘route de Selatna', qui a couté une enveloppe conséquente a la collectivité se trouve dans un piteux état, qui s'est transformé en une sorte de «toilette public ». Oui en une sorte de toilette public, sans que personne n'ose lever le petit doigt pour remédier a ce problème d'utilité publique et dont les consommateurs boudent ce marché vu le manque de transport publique afférant a ce carnaval insupportable. La poissonnerie, où du moins ce qui en subsiste comme stagnant, fait partie du paysage du marché couvert de la route de 'Selatna', dans un piteux état. L'après midi ou la nuit tombée, ce relais de l'arnaque sert carrément en une sorte d'urinoir a ciel ouvert, ou tous les dérives sont permise au vu et au su des responsables concernés par l'hygiène publique, qui rappelons-le, est carrément déficient pour la bonne marche de la chose publique dans toute ses textures. Dans cette même place insupportable, exhibée a toutes les dérapages catastrophiques, le poisson qui est vendu a la criée sous un soleil de plomb continue de faire des émules pour ranimer ces vendeurs a une impossible culture de la propreté, de la salubrité et de l'assainissement de leur milieu hautement dangereux pour la santé humaine. Le travail collectif d'entretien de ces vendeurs ambulants ne semble pas être de fixée dans cette culture du «matrague», c'est-à-dire du bâton, ou ces derniers jettent les déchets partout, qui ont honteusement polluées ou des émanations insupportables. L'environnement à la place Sidi Bouras. Dans ce contexte désolant, nous avons été témoins, et ce, depuis belle lurette a un drôle de manège institutionnalisée, ou devant les bouches d'égouts et autres caniveaux, que ce produit sensible ,qu'est le poisson y compris le pain est marchandé au vu et au su des autorités compétentes, qui ont le pouvoir de réprimer ces agissements répétitifs a la longueur d'année, ni les services d'hygiène ou autres brigades mixtes n'ont pu empêcher les irascibles garnements de s'approprier les alentours d'un marché improvisé a tous les gasconnades. De nombreuses flaques d'eaux encrassés et de tas d'immondices qui foisonnent dans cet emplacement, obligent les passants et autres ménages inconscients à des voltiges pour mieux se déplacer. Aux aguets, sur le qui- vive, les milliers de ces prétendants qui foulent ce terrain maudit, sont prêts a sautiller le moindre obstacle pour ne pas se salir. Une piètre remarque qui n'honore nullement la wilaya de Mascara, ou des sommes astronomiques ont été jetées par les ‘autorités' dans la rue pour un semblant embellissement insolite. On se rend vite compte que le service d'hygiène ne fonctionne plus depuis belle lurette, ou plutôt que, sur injonction des autorités de la wilaya, quand des ministres et autres grosses légumes passent par les grandes artères. En effet, dans ce carnaval a la Dechra, c'est courant, ça brille la ou passe les grosses patates du pouvoir , pour redorer le blason terni par tant de dilapidation de deniers publics , visant un gigantisme stérile, indécent et piètrement coûteux, à l'exemple de la Rekaba ,dont son marché couvert a été démolie pour en faire une place qui a couté des milliards de centimes pour rien. La place ‘El –Argoub', exhibent a même le sol des légumes, des vivres frais, poissons, pains sans se soucier de l'ambiance ambiante. l' insalubrité qui perdure à l'heure actuelle, a l'exemple de la Rekaba, c'est-à-dire du marché couvert et la place Cheikh Ouijdi, derrière le stade Meflah Aoued, et le fait que les centaines de vendeurs ambulants installées ne se mobilisent pas pour assurer la propreté de leur milieu mais surtout des responsables qui ont fait la sourde oreille pour dénicher des marchés de proximités facilement contrôlables. Depuis cinq années, pratiquement tous les walis qui n'ont absolument rien fait pour Mascara, sauf de celui de se servir à outrance, ont promis en notre présence de remédier aux problèmes des marchés de proximités fermées pour des raisons indéniables. L'erreur, reste celui d'oublier ces promesses non tenues .On connait la chanson... D'ailleurs, des maladies que l'on prédisait éradiquées commencent à se manifester en raison de la mauvaise gestion des villes, y compris des communes , que compte la wilaya de Mascara, vu le manque d'hygiène qui prend de plus en plus d'ampleur, via le manque de civisme de nos concitoyens, qui a amplement fait basculer la situation dans le cote dépassé
des choses. Aucune campagne de dératisation ou des moustiques, qui ont dangereusement dessinées le paysage dans la wilaya y compris le chef-lieu, n'a par la force des choses incommodées fortement les populations vulnérables. La wilaya de Mascara, mais aussi les autres dairates, à l'exemple de la commune de Tighennif, sont devenus invivables ou les gros rats cohabitent avec les populations, au prix de quelques entorses aux bonnes manières sur la gestion de la chose publique ou des élus imposés et autres responsables véreux, qui se sont remplis bien les deux poches, légalement mais dans des proportions insoupçonnées . N'en déplaise a certains !


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