Il y a des vérités qui choquent, froissent et surprennent dans le monde sportif, plus précisément dans les disciplines qui apparaissent dans les compétitions internationales. Mais lesquelles se justifient, puisque peuvent servir de base de travail pour les gestionnaires qui ont la charge de remanier, modifier ou encore réajuster les chantiers pour assurer une solidité des piliers appelés à souteneur développement sportif. A défaut d'être pris en charge par la FNJ Le jeune athlète algérien, en l'occurrence Hezil Oussama Abdelhak, était le seul Algérien à avoir pris part au championnat d'Afrique du judo (Cadets) qui vient d'avoir lieu à Yaoundé, au Cameroun. Son mérite est d'avoir décroché haut la main la médaille d'Or, à l'issue des épreuves de la catégorie des – 66 kg, et remporte le titre continental. Jusque-là, rien d'anormal. Sauf qu'il s'est pris lui-même en charge, à défaut d'être pris en charge par la Fédération algérienne de judo. Il a financé son propre déplacement au Cameroun et a réussi à décrocher cette médaille d'or. L'occasion de se frotter aux champions olympiques de sa catégorie Il y a des vérités qui choquent, froissent et surprennent dans le monde sportif, plus précisément dans les disciplines qui apparaissent dans les compétitions internationales. Mais lesquelles se justifient, servent de base de travail pour les gestionnaires qui ont la charge de remanier, modifier ou encore réajuster les chantiers pour assurer une solidité des piliers appelés à soutenir le développement sportif. Cet athlète cadet a eu l'occasion de se connecter ou frotter aux champions olympiques de sa catégorie tant mondiaux, africaines, continentales et même régionales. Pour lui, comme pour tant d'autres, ce sont des jeunes qui croient à leur capacité de ramener des titres au pays et à eux même. Pour, eux le temps c'est de l'Or, autant le tenter aujourd'hui que demain. Et c'est ainsi avant d'atteindre la finale, Hezil, a battu le champion égyptien Youssef El Sayed avec un «Ippon». Ce succès est d'autant plus exceptionnel, car Hezil était le seul athlète algérien participant à la compétition, ce qui souligne l'absence de soutien de la part de la Fédération algérienne de judo. Il s'est pris en charge à défaut d'être… Hezil, athlète Algérien, s'est pris en charge à défaut d'être pris en charge. Il s'est exprimé sur le plateau de la chaîne Echorouk. Lors de cette tranche horaire, il a tout simplement dit qu'il poursuivra cette discipline pour le plaisir de faire entendre l'hymne national, là où il prendra part. C'est le message ainsi décortiqué exprimé à sa manière. Il a livré ses sentiments, il estime que l'Algérie devra participer avec plusieurs jeunes athlètes à ces championnats africains de judo. Or, un ahurissant retournement de situation a contraint les jeunes athlètes à renoncer à cette participation. «Il regrette que la fédération nationale n'a pas été capable d'acquérir les billets d'avion nécessaires au déplacement des jeunes judokas au Cameroun». Pour ce média «le mérite revient, soutenu par ses parents et son entraîneur. Ces collègues qui devaient se rendre au Cameroun pour disputer ces joutes de ce championnat continental, ont été surpris par la décision de la fédération du judo qui les aurait privé d'effectuer le déplacement». En résumé Enfin, selon l'APS, Hezil était le seul représentant algérien dans cette compétition continentale, ayant drainé la participation de 165 judokas (83 messieurs et 82 dames), représentant dix-sept pays. Avec 36 judokas engagés (21 messieurs et 15 dames), le Cameroun était le pays le mieux représenté, devant l'Angola (19) et l'Egypte (18), au moment où certaines nations comme l'Algérie et Djibouti n'ont engagé qu'un seul athlète.