C'est le communiqué de presse remis aux journalistes et correspondants accrédités à Djelfa. Le nombre de personnes confondues et arrêtées est presque identique à celui qui concerne les citoyens qui ont été piquées et recensées par les structures sanitaires. C'est l'adage de la relativité pour s'auto convaincre des prisonniers. «Ceux qui sont en prison sont dans de meilleurs draps que ceux qui sont hospitalisés». La criminalité et la délinquance ne sont plus ou presque des titres dévalorisants. Pour cause, sur les 497 affaires traitées pour le seul mois d'octobre 636 personnes ont été confondues. Le nombre de personnes mises en détention ferme ou préventive ne nous a pas été donné. Pour le détail : (081) affaires ayant trait aux délits et crimes en lien avec les atteintes aux propriétés et les finances. Pour cette annonce tout est confondus. (166) affaires ayant lien avec les délits et crimes contre les personnes physiques. (050) affaires ayant porté atteinte ou causé des dégâts sur les biens publics. (152) affaires de drogues et de psychotrope. (013) crimes liés à la cybercriminalité. (018) crimes économiques. (015) affaires de mœurs. 002) affaires liées aux débits de boissons alcoolisés. Par ailleurs : nous avons relevé qu'une conclusion optimiste que la police n'est pas faite pour réprimer les contrevenants mais ils sont des humains qui ressentent les douleurs ressenties par les délinquants. Les différents services et structures au niveau de la Sûreté de wilaya de Djelfa mènent des campagnes de sensibilisation notamment contre la consommation des drogues et psychotropes. C'est ainsi que les appels sur le 1548 pour dénoncer les dealers ou des actes de délinquance.