Rien n'a changé Un an déjà s'est écoulé depuis le génocide perpétré par les hordes sionistes à Ghaza. - Que s'est-il passé après ? 1 417 morts d'un côté, dont 926 civils incluant près de 400 enfants, et dix soldats plus trois civils de l'autre. En termes politiquement corrects, cette boucherie serait interprétée comme une réaction disproportionnée. - Mais qu'en est-il effectivement ? Y-a-t-il eu changement ou prises de décision pour au moins rattraper, voire compenser, ce mutisme lâche de la communauté internationale ? - Que non ! Rien n'a changé. Ni le blocus, ni la misère, ni les destructions, ni l'économie des tunnels, ni le contrôle du Hamas sur Ghaza. Un massacre gratuit qui dénote encore une fois de l'échec du régime sioniste à contenir la résistance. L'antisémitisme comme bouclier Pour mieux noyer le poisson, ce qui serait absurde bien sûr, on occulte la réalité. Oui, tous ceux qui oseraient dénoncer ces actes barbares, au passage bénis par le silence complice de ces pseudo-démocrates, est automatiquement taxé d'antisémite. Une nouvelle arme qui sert de bouclier à ces alliés et commis du régime sioniste. Et croyez-mois, ils sont nombreux à avoir le virus sioniste dans le sang, exception faite de quelques voix courageuses dont malheureusement l'écho est passé sous silence. Combattre le déni Qui, parmi les gens justes indépendamment de leur race ou de leur religion, oserait nier ces crimes ? Personne, à notre humble avis. Pour preuve, le juge Goldstone, ce magistrat sud-africain qui a diligenté une enquête sur l'offensive de Ghaza. Dans son rapport, il y dénonce des crimes assimilables à des crimes contre l'humanité. Ce rapport jugé impartial lui a valu d'être traîné dans la boue et d'être taxé d'antisémitisme par une partie de la presse sioniste. Circulez, il n'y a rien à voir Ce déni des droit des Palestiniens sur tous les fronts ne pourrait passer sous silence, affirment les gens épris de paix. Oui, ils ont défié, les sphères officielles au chevet du régime sioniste. Ils ont traversé monts et vaux rien que pour marquer leur présence en cet anniversaire douloureux, et ce, en guise de soutien aux victimes du blocus satanique orchestré par les sionistes et appuyé récemment pas le mur d'acier égyptien. «Ces signes, alors que l'horizon politique est sombre, éclairent un peu le chemin. Difficile de savoir s'ils conduisent à une impasse ou à une véritable issue politique. Soutenir qu'il ne s'est rien passé à Ghaza est devenu impossible depuis le rapport Goldstone. Mais constater qu'il ne s'est rien passé après Ghaza serait un crime de l'impuissance dont nous serions tous comptables. L'Europe mérite mieux que cela», dira une députée européenne