Lettre ouverte à Messieurs : 1/Monsieur le président de la République et premier magistrat du pays à qui j'ai déjà adressé une plainte suivie de lettres de rappel par voie postale et trois lettres par voie de presse. 2/Monsieur le ministre de la Justice à qui j'ai déjà adressé une plainte plus des lettres de rappel 3/Monsieur le procureur général de la cour de Béjaïa à qui j'ai déjà adressé une plainte suivie de lettres de rappel ainsi que plusieurs audiences avec lui. 4/Messieurs les sénateurs de la nation pour information 5/Messieurs les députés de la nation pour information 6/Monsieur le wali de Béjaïa pour information 7/Messieurs les membres APW de Béjaïa pour information. Messieurs, Suite à un vol de matériels d'huilerie et matériels divers et agressions sur ma personne depuis le 31 décembre 1990 par des individus que j'ai remis entre les mains de la Gendarmerie nationale de Tazmalt, après dépôt de plainte et des lettres de rappel à M. le procureur de la République du tribunal d'Akbou, ensuite à M. le procureur général de la cour de Béjaïa avec qui j'ai eu même des audiences mais qui n'ont eu aucune suite et à ce jour, après toutes ces non-réponses, j'ai saisi M. le président de la République par une plainte recommandée en date du 03/04/2003 suivie de lettre de rappel et trois lettres par voie de presse et qui demeurent sans réponse à ce jour et dont je ne sais pourquoi. Ayant épuisé toutes les voies hiérarchiques pour obtenir mes droits et qui sont légitimes, j'ai l'honneur de m'adresser, à vous tous avec respect et considération par cette nouvelle plainte pour attirer votre attention sur l'injustice, les menaces et la hogra que j'ai subi esdurant ses 19 années de cauchemar et de misère que j'ai passés très durement et qui ont affecté ma santé actuellement. Maintenant je m'adresse à vous tous en tant que responsables supérieurs de la nation vous demander de prendre en considération cette requête et donner une suite favorable à ce problème. Je suis prêt à vous donner des réponses et information au cas où je serai convoqué par vos services, je ne demande aucune faveur, seule la justice ni plus ni moins. Je vous met au courant aussi qu'aucune décision de justice ne m'a été rendue pour me fixer définitivement. Je vous informe qu'après parution de cette lettre dans le journal, et qu'au cas où je n'aurai pas de réponse favorable à toutes mes doléances, j'entamerai une grève de la faim à Alger la capitale et jusqu'à obtention de mes droits et c'est le seul recours qui me reste à faire. Dans l'attente d'une suite favorable à cette requête et sans oublier de vous remercier par avance chacun en sa responsabilité, veuillez agréer, messieurs, l'expression de mes profonds respects. M. Habchi Hocine Boudjellil-centre (06018)