Selon des informations concordantes, le président américain, Barack Obama, serait pour un changement de localisation de la zone devant abriter le Centre islamique dénommé Park 51 (mosquée Ground Zero) et initié par le controversé égyptien Fayçal Abdul Raouf. En effet, des contacts auraient eu lieu entre le conseiller du président américain pour la sécurité nationale, le général James Jones, et l'émir Naif Ibn Abdulaziz. Ces informations arrivent au moment où le « Star Ledger », une grande publication de New Jersey, révèle que l'imam Abdul Raouf serait concerné par une poursuite intentée par la ville d'Union City (l'autre côté du fleuve Hudson, séparant Manhattan et New Jersey), au sujet de deux immeubles que l'imam-courtier et sa femme Daisy possèdent. Ces deux propriétaires auraient violé la règlementation municipale relative à la salubrité, la sécurité et la rénovation. Fayçal et son épouse, qui sont les seuls signataires pour les dépenses de « Cordoba House » et de l'association ASMA (American Society for Muslim Advancement), auraient pris pour leur compte des activités Interfaith Movment (au sens de dialogue inter-religieux), oeuvre de Sheikh Nour Ashak Al Jerrahi (Lex Hixon), mort en 95 et père de Fariha. C'est la femme qui gère actuellement l'ordre soufi de Masjid Al Farah New York. Il est utile de souligner que ce genre d'activités reste de grand intérêt, d'une part pour les administrations publiques - tous paliers confondus - et d'autre part, pour les compagnies privées, surtout après les attaques du 11 septembre. L'argent coule à flots grâce à des dons de diverses origines. Même le département d'Etat est impliqué dans des paiements de factures de voyages effectués par le «doctour» égyptien au Moyen-Orient. Mais où exactement ? A Bordj Al Arab à Dubaï vraisemblablement ! Cependant, l'information la plus intéressante mentionnée par «Star Ledger» reste celle liée à une action en justice entamée en juin 2008 contre l'imam pour fraude hypothécaire. Sitôt le fil conducteur connu, l'entourage de ce dernier commence déjà à parler de complot juif. Pourtant, Abdul Rauf était trop lié au maire de New York, son pourvoyeur de fonds, qui est pourtant juif d'origine. Mais Abdul Rauf avait reçu aussi 2 millions en fonds publics pour ses propres immeubles et encaissé des donations pour la Cordoba House et ASMA. Encore d'où tout cela ? Si ce n'est de sociétés appartenant à des juifs qui avaient sincèrement cru dans son action inter-religieuse. De qui se moque-t-il, de 1,4 milliard de musulmans actuellement tout feu tout flamme suite aux actions d'un pasteur débile, sorti de sa chaumière pour bruler le livre sacré ? Ainsi, nous nous trouvons donc, comme nous l'avions mentionné dans notre article du 15 septembre, face à 6 trabendistes égyptiens pilotés par Hisham Al Zenaty et Nour Moussa. Ils veulent tout simplement fructifier un projet bidon en utilisant l'islam. Auront-ils la capacité de ramasser les 100 millions de dollars sans recourir à l'étranger ? Vont-ils avoir cette somme de l'Arabie Saoudite et ses satellites? Vont-ils répondre à l'offre de Donald Trump, le millionnaire qui avait proposé l'achat des buildings de Park Place pour 6 millions ? En tout cas, les déclarations de Raouf disant que le déplacement de la mosquée serait grave, ont été suivies par un revirement le lendemain pour avouer que toutes les options restent possibles. Pour décider, il doit discuter avec les «actionnaires», en l'occurrence Al Gamal, Al Zenaty et la famille de Amr Moussa. Dans tous les cas de figure, le jeu pourrait ne pas fonctionner. La mosquée pourrait être déplacée ou le projet carrément abandonné. Mais à quel coût ? La somme de 30 millions de dollars qu'ils voulaient partager dans les quatre immeubles des 45, 47, 49 et 51k Place deviendrait illusoire. Sharif, le Chameau, va reprendre du service avec les effeuilleuses moldaves, en attendant de trouver d'autres naïfs.