Oran est une ville connue pour avoir été livrée à la mafia partisane de toutes les transactions douteuses pendant plus de 20 ans. Le Président de la République, lui-même l'avait déclaré l'ors de sa visite à Oran : « Oran a été soumisse au matraquage pendant 20 ans ». Mais depuis toute opération d'assainissement des lieux a rencontré des obstacles, des contraintes et des pressions sur les walis qui se sont succédé, pour gérer cette deuxième capitale de l'Algérie, qui volontairement demeure avec une seule et unique APC. C'est-à-dire une seule mairie pour environ deux millions d'habitants, si nous comptons les constructions illicites et les bidonvilles qui abritent les centaines de milliers de familles. Une wilaya pris au piège par l'ancien système de gérance des APC, APW, députés et walis. El Bahia s'est clochardisée volontairement, puisque l'ensemble des gestionnaires n'ont pensés à cette époque qu'à leur besoin personnel, une course à l'accaparation des lots de terrains et agricole, pendant que le peuple était trainé dans la'' boue''. Après la venue du Président Bouteflika, les pauvres citoyens ont commencé à voir, mais de loin le bout du tunnel. Certains walis ont tenté mais sans succès de venir à bout des charognards qui ont charcutés Wahrân. « On nous a parlé des obstacles que le Wali A. Zoukh avait rencontrés » Ils ont même exigé son départ d'Oran, selon les informations qui nous sont parvenues à cette époque. Aujourd'hui, le nouveau wali, M. Abdelmalek Boudiaf depuis son installation, il n'a fait que s'atteler à redresser la situation et tenter par tout les moyens d'assainir ce qu'il est devenu flagrant. D'abord il a géré le dossier logement et il a mis fin aux attributions douteuses et aux favoritismes et aux « quotas »il a commencé à enrailler le business juteux et illégal des ‘'logements''. Il demeure au contact avec ses concitoyens en prenant en charge ses doléances. Ses sorties d'inspection à travers les administrations et les communes et le suivi au peigne fin des projets et des budgets. Evidemment, il ne fait que son travail pour le quel il est payé. Prévenu dés son installation à Oran, que Wahrân recelait des lobbies et des groupes de pression. Il répond avec le sourire qu'il a été désigné à la tête de la wilaya d'Oran dans un cadre précis, sur instructions de ses supérieurs que sont le Président de la République et le ministre de l'Intérieur. Et voilà que le manège malsain d'une mafia reprend ses activités, pour contrecarrer la mission du wali. « Certains maires ont signé des bons de commande de plus de 500 millions » Dernièrement, l'ors d'une réunion, un maire d'une des communes d'Oran a été ciblé par le wali d'avoir signé des bons de commande de plus de 500 millions, et les avoirs réglés pendant les heures qui suivent cette signature. Le wali s'opposa aussi à la ‘'charcuterie'' de terres agricoles dans la zone de Bouâmama. Alors, les oranais retrouve l'espoir qu'ils avaient perdu, et la confiance qu'ils avaient abandonnées et épauler le Wali dans sa mission pour combattre la gangrène qui a manifestement rendu cette ville malade de tous les fléaux et trafics qui se pratiquait, sans oublier l'influence qui était exercée. Ainsi que la drogue, le business malhonnête, les transactions de lots de terrain, pour citer le cas de Misserghin, où un lotissement demeure sous influence de transaction occulte, et qu'une autre terre agricole est sur le point d'être transformée par le béton sous prétexte de construction de 900 logements et que la population et ses élus ne cessent de dénoncer.