L'absence de concertation et de dialogue entre les enseignants et leurs responsables hiérarchiques ne fait que s'accroitre et ne met pas fin au désaccord. Dans ce contexte, les enseignants de l'université Djilali Liabes de Sidi-Bel-Abbès, qui croit-on savoir, sont confrontés à moult problèmes exigent une commission d'enquête ministérielle pour avoir une idée du pourrissement dont sont confrontés certaines facultés, notamment celle des sciences humaines. Aussi, c'est dernières sont soulignent-ils, de mettre en avant d'autres démarches, au cas où leurs revendications ne seront pas prises en compte. Ils revendiquent l'application de la nouvelle loi, ayant trait à la régularisation des échelons, ils réclament le droit à postuler les postes de chefs de départements de trois années et non pas éternellement, comme c'est le cas à l'université Djilali Liabes souligne t on. Les enseignants revendiquent en plus un quota à leur profit de logements (LSP). Enfin les contestataires déplorent l'absence de canaux de communications pour poser leurs problèmes.